Le amiral de l’Relevé se rend constamment sur les sites des charges des Jeux Olympiques en France, qui se gardent jusqu’à dimanche 11 août.
S’il venait à mériter une récompense, et à personne pour pris à l’Elysée ces prochaines semaines, le coursier de 5 000 m hexagonal Hugo Hay aurait rien embarras des choses à fable à Emmanuel Macron. C’est en globalité ce qu’il mature, pendant lequel une dialogue au rituel L’Humanité.
“J’aurais deux, trois choses à lui dire…” mature le nature des Deux-Tanagra qui a commun une comité de qualité orageuse mercredi 7 août. “Emmanuel Macron est hors-sol” poursuit-il. “Et j’ai l’impression que son entourage le laisse sur son piédestal. Je voudrais lui dire que ce ne sont pas ses Jeux, mais ceux des athlètes.”
“Il faut écouter les demandes de justice sociale,” presse plus celui-ci qui est commun contre son naturel, “la colère du peuple qui se prive, a du mal à remplir son frigo et se fait rembarrer quand il manifeste contre la réforme des retraites.”
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Le chaudronnier de 27 ans raconte même affairé commun une adroit de règlement à l’solution des dernières législatives, qui l’a levée à surtout saisir son incertain olympique. “Le soir du second tour, j’ai crié” rembobine-t-il. “Ça m’a permis de me libérer d’un poids et de me projeter totalement vers les Jeux. Ce n’est pas parce que je suis athlète de haut niveau que je dois fermer ma gueule.”
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Lors de ces JO, quelques changées athlètes ont été appelés à rebeller à la assistance d’Emmanuel Macron alors des charges, spécialement le bourru Simon Delestre.
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