JO de Paris 2024 : Ces Lot-et-Garonnais racontent à elles étude des Jeux Olympiques

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Ils ont expérience l’agrès, le beach-volley, le hand vraiment le Club France, le local de recueil des supporters hexagonal. Ces Lot-et-Garonnais, en fugue là-dedans la fondamentale, quelques-uns racontent.

Tous racontent des moments inoubliables. “Mon plus grand souvenir, c’est quand on a gagné la médaille d’or au rugby à 7. Je suis passionné de rugby, alors j’avais les larmes aux yeux…”, se rappelle Loïc Le Cabellec. “Je suis allé voir France – États-Unis en foot. L’ambiance était magnifique, les gens sont venus faire la fête, oublier les soucis et profiter du moment”, se souvient Habib Amara.

Un rendu partagé : la dogme de ces Jeux de Paris, au-delà des médailles, au-delà des sportifs, c’est le connu. Un connu aguichant les athlètes, harmonieux et donnant de la parole. “Ce qui est bien, c’est que dans chaque stade, il y a de l’ambiance ; mais une ambiance différente. Au Stade de France, on chantait Que je t’aime ; à l’Arena Champ-de-Mars, Allumez le feu…”, explique Loïc le Cabellec. Originaire de Saint-Jean de Thurac, le galant de rugby a assisté à toute la baptême semaine des Jeux là-dedans la fondamentale. “On a des DJ qui mettent l’ambiance, des maîtres de cérémonie qui nous poussent à chanter”

“Je vais avoir 40 ans, je sais que je ne reverrai pas les Jeux dans ma vie”

De l’rame, au rugby à 7, jusqu’au beach-volley, Loïc a ainsi été impressionné par la splendeur des sites olympiques. “On voit que les lieux ont été choisis pour faire plaisir aux spectateurs et aux téléspectateurs. Toute la tribune bougeait pour le beach-volley, c’était impressionnant !”

“C’était une expérience totalement différente sur site par rapport à la télévision”, ajoute Nicolas Arguence, propriétaire de Bon-Encontre. Lui est discret lundi de Paris, où il a passé le vacance envers son junior, uniquement entretenu des commentaires à vie. “C’est à faire. Je vais avoir 40 ans, je sais que je ne reverrai pas les Jeux dans ma vie”.

Nicolas Arguence était notamment à la Concorde pour assister aux épreuves de rue, comme le skate.
Nicolas Arguence incarnait particulièrement à la Concorde quant à favoriser aux services de rue, avec le skate.
Photo – Nicolas Arguence

Nicolas Arguence a vu de l’agrès, des interprétations de rue, du hand ; et se rappelle, avec Loïc, d’un Paris extrêmement avenant à manne. “Paris reste une des plus belles villes au monde. On tient des épreuves sur des sites mythiques.”

“On n’avait pas de billet pour la Tour Eiffel, on n’a même pas attendu…”

Une régularité là-dedans les joie, une pénétrabilité des forces de l’tour, qui rendent l’étude d’tellement encore avenant là-dedans une agglomération réputée quant à sa blasement et son allure fougueux. “À part le Louvre où c’était un peu plus compliqué, il n’y avait personne dans la ville ! On n’avait pas de billet pour la Tour Eiffel, et on n’a même pas attendu…” sourit Loïc le Cabellec. Et d’intensifier : “Je suis allé au Parc Astérix. Je n’ai jamais attendu plus de dix minutes à une attraction. Le parc fermait à 21 heures !”

Loïc et Nicolas sont désormais rentrés des Jeux, somme avec Habib Amara. Mais ils renferment un amulette épique de ces Jeux, envers rarement plusieurs anecdotes. Comme Loïc : “après la finale du rugby à 7, je me suis faufilé dans les travées avec ma femme. Les joueurs chantaient, dansaient, célébraient une heure et demie après la cérémonie. Et j’ai pu me glisser parmi les proches des joueurs, et prendre des photos avec quelques-uns.”

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