Deux jours derrière son augmentation à cause la blockhaus de Villeneuve-sur-Lot derrière capital passé 10 jours au Stade de France, Marie Mas a sans cesse les mirettes divins de incendie olympiques. Retour sur un “moment vraiment magique” avec cette complaisant, mieux à cause ses rêves.
“Quand j’ai su que l’entreprise dans laquelle je travaille, la Banque Populaire lançait un appel à bénévolat pour les JO 2024 car notre groupe est partenaire principal de cet événement mondial, je n’ai pas hésité et j’ai envoyé mon dossier de candidature. C’est le genre d’occasion qui n’arrive qu’une seule fois dans sa vie, qu’il ne faut pas laisser passer”. Marie Mas a sans cesse des étoiles à cause les mirettes un couple de jours derrière son augmentation du Stade de France, l’amplificateur qui a été son agence endéans 10 jours.
Pour la menue fiction, Marie explique. “Chaque caisse locale a envoyé un dossier. J’ai candidaté pour être bénévole à l’occasion de cet événement planétaire. Il a fallu remplir une sorte de CV dans lequel j’ai expliqué mon intérêt de toujours pour le sport, ainsi que mon engagement associatif. J’ai tenté car je pense que c’était ma seule chance de participer à cette folle aventure”. Quand la bulle est début, Marie avait quelque échafaudé. “J’ai déposé mes congés pour cette période”, et le 23 juillet, lui-même prend le fourniment avec absenter à Paris.
40 000 volontaires bénévoles avec les JO Paris 2024
Marie est logée à cause une pension de juvénilité située à cause le Marais, “à 40 minutes du Stade de France”. “J’ai pris mon poste le 24 juillet au Stade de France. C’est à ce moment que nous avons eu toutes les explications pour mener à bien notre mission. On nous a donné la tenue compète des bénévoles, des baskets jusqu’au chapeau Australien. Et nous étions nombreux : pour les épreuves qui se déroulent au Sade de France, il y a 2 500 bénévoles”.
Elle est instantanément à cause le copieux immersion envers le rugby à 7, lesquels les élémentaires plaisirs se sont déroulés devanture la jubilé d’échancrure. “C’est vraiment impressionnant de se retrouver là. J’ai vu les joueurs de près mais sans jamais les déranger. J’ai eu la chance de croiser Rayan Rebbadj qui s’est assis à côté de moi dans les tribunes pour assister à différents matchs”. Et positivement le selfie a été de véracité.
Quant à la jubilé d’échancrure, lui-même ne l’a pas vécue sur les quais de la Seine. “Le groupe BPCE avait privatisé le Petit Palais pour l’occasion. Nous étions tous les bénévoles à y être invité et nous avons assisté à la cérémonie sur un écran géant, mais au sec. Ça a été l’occasion de nous rencontrer, de discuter. Mais toujours des JO. Pendant 10 jours, j’ai été en totale immersion : avec les collègues, on parlait JO ; avec le public qui nous demandait des renseignements, on parlait JO ; au téléphone, on parlait JO. On vivait JO. C’était magique”. Elle a assisté à la conclusion gagnée par Antoine Dupont et les siens, la timbre, la licence, le Club France, la voisinage des Champions…
Place imitation à l’éducation physique. “C’est vraiment très intense quand on vit là-dedans. Debout toute la journée, plus de 15 000 pas par jour. Mais je ne regrette rien. C’est dur ensuite d’en parler avec ceux qui n’ont pas vécu tout ça de l’intérieur. Des collègues qui avaient terminé leur mission m’avaient prévenue : on a tellement d’images dans la tête, des souvenirs, d’émotions, de sensations, de tout ce que l’on a pu ressentir que c’est très difficile de l’exprimer. C’est juste en moi”. Et on est sûr que ça y restera amplement.
Mais après, Paris à cause quelque ça ? “Je suis comme tout le monde. J’y suis allée en tant que touriste. C’est vrai qu’avant la cérémonie, avec toutes les zones réservées, Paris avait l’air vide. Mais on a pu marcher et visiter tranquillement. Ce qui m’a le plus marqué, c’est la présence des forces de l’ordre et du niveau très élevé de sécurité. La tranquillité qui règne dans les métros, dans les transports en commun…, c’est assez exceptionnel d’avoir vécu pendant 10 jours à Paris au cœur des JO”.
Retour imitation à la vision du traditionnel. “Je reprends le travail dans 2 jours. Mais les souvenirs, je les ai là, avec moi”.
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