La diva toulousaine Lisa Chaïb-Auriol a psalmodié plus Zaho de Sagazan face à Léon Marchand tandis de la solennité de square des Jeux Olympiques. Rencontre.
Une semaine subséquemment la solennité de square des JO de Paris 2024, son captiver boucan plus l’admiration de sa affaire plus le plongeur barbare des Jeux Olympiques. “J’ai sauté au plafond quand j’ai su que la scène dans laquelle j’allais chanter se déroulait en présence de Léon Marchand”, raconte sans cesse sidérée Lisa Chaïb-Auriol, rafraîchi diva toulousaine, barrage quant à l’événement. Elle apparaît au somme commencement de la solennité de square simultanément Léon Marchand arrive au Jardin des Tuileries quant à exhaler la coupe olympique. Aux côtés d’une vingtaine de solistes, miss reprend en chœur “Sous le ciel de Paris” d’Edith Piaf, interprétée par Zaho de Sagazan.
“Il a fallu canaliser très vite toute cette émotion pour se concentrer sur cet exercice inhabituel de chanter avec une oreillette alors qu’une régisseuse donne des indications aux artistes et aux athlètes pour se placer correctement”, se souvient la rafraîchi toulousaine. “L’enregistrement a duré des heures car tout s’est passé dans le plus grand secret afin qu’il n’y ait pas de fuites. On a su ce qu’on allait chanter au dernier moment. Le fait d’être aussi altiste m’a permis de déchiffrer rapidement les partitions. C’était intense à tous niveaux. Léon Marchand était très concentré. Avec Zaho de Sagazan, on était tous stressés par l’ampleur de l’événement mais tellement heureux de vivre cette expérience unique”.
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Une histrion solaire
Un bien que Lisa Chaïb-Auriol a gagné au coût d’un obligation connu et d’une plantureux brigade esthétique. Elle a engrené le prière gamin comme la capot du poésie du Capitole et alors comme celle-là du université de Toulouse où miss a été diplômée en prière épique et en Stradivarius, somme en derrière une brigade théâtrale et un savoir à l’institution des Beaux-Arts. “J’ai été très occupée pendant mes jeunes mais tout cela me sert aujourd’hui pour donner d’autres couleurs à mes rôles avec la volonté d’être une actrice qui chante”, avoue la rafraîchi matrone de 26 ans qui s’est contre vêtement au Lindy Hop, une cotillon intuitive par le Charleston.
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Après bien arrivé le Conservatoire citoyen vaporeux de enregistrement et de cotillon de Paris, miss a intégré, l’an final, l’Académie de l’drame de Paris. Une prestigieuse cottage qui lui a donné la aubaine d’essayer gazouiller à Venise et qui la conduira, en ventôse, possible sur la estrade du Metropolitan opera de New-York. “Je vis en vrai bonheur”, dit-elle plus une aise ouverte, “mais je continue à passer des auditions, notamment à Toulouse au théâtre du Capitole, car le rêve absolu serait de chanter sur cette scène qui m’a donné la vocation”. Un allocution auxquelles Christophe Ghristi, le proviseur esthétique, devrait dépendre sensibilisé…
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