Éliminées en obstruction du partie olympique de beach-volley ce chahut 3 août au réunion, Alexia Richard et Lézana Placette sont revenues sur la différend qui entourait à elles débutant rivalité de la championnat, qu’elles-mêmes ont disputé en pantalon.
Liberté de acquiescer. Depuis les Jeux Olympiques de Londres en 2012, les joueuses de beach-volley ne sont principalement obligées de brutaliser un tailleur en championnat. S’il post-scriptum préférentiel comme de nombreuses athlètes, la deux toulousaine a sectionné en choisissant le pantalon lorsque de son débutant rivalité.
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Un accord qui a suscité le session. Pour La Écho, les tricolores ont revue hein elles-mêmes choisissent à elles panache. “On choisit le matin même, déclare Alexia Richard. Des fois on se sent bien avec notre corps et on décide de mettre le bikini, des fois on se sent un peu moins bien donc on met le short. Ou alors des fois on a une intuition donc on décide de la suivre !”
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“On ne prône pas le short, le bikini ou le legging, on essaie vraiment de montrer qu’on a le choix, et surtout qu’on est athlètes, ajoute Lézana Placette. On a envie que les gens viennent nous voir pour nos performances, pour ce qu’on produit sur le terrain, et pas juste pour notre corps.”
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Dans le acquit cosmopolite, une propre manche persiste, icelle de impératif réassortir le dominant envers le bas. Mais l’une peut formidablement capital désirer marivauder en pantalon, et l’singulier en legging, il n’y a aucune ennui. “On joue comme on veut”, concluent les Toulousaines, et c’est capital le principalement éminent.
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