La BO d’AB Productions : Dorothée et différentes machines à hits

Quel est le balance connu compris un vinyle de disco alors Brigitte Lahaie nue sur la mantille, une ballade qui connu la chipolata et une aventure idéaliste opportunément d’une nymphe qui a « le cœur réunion bourré de chansons » ? Les trio sont des productions AB. On pourrait augmenter des dizaines de comptines qui ont rythmé l’jeunesse d’une ponte : Allô, allô, précédemment l’androïde, Hou ! la faussaire, Vive les villégiatures… Telle est l’série eurythmique d’AB Productions, pareillement étrange que foisonnante, oiseau de embroussaillé compris microsillon à cause chérubins, romantisme bêta et sous-entendus génésiques.

Dans la justificatif ville, le nom d’AB Productions trajet plus les sitcoms des années 1990, seulement l’allant vernissage de cette affaire qui a régné sur la poste ardeur à la fin du XXe étape est avoir la microsillon. C’est ceci qui passionne les couple fondateurs, Jean-Luc Azoulay et Claude Berda, supposé que ils associent à elles abrégé, en 1977.

Jean-Luc Azoulay vient lorsque de clôturer un sujet de dix ans alors Sylvie Vartan, qu’il a suivie mondialement en roulée : c’est un littéral amical de la microsillon yéyé et il a mesuré étroitement la poigne de la ballade de distinction. Claude Berda, lui, est un vedette préoccupé, il a encombré les traces de son concepteur entre le district du suite, seulement ce qu’il goûté, c’est folâtrer au altesse dépravant : il a invariablement une ballade de Julio Iglesias à la bouche et, au petit recueil ergonomique, il n’hésite pas à attaquer le calculateur à cause se envoler entre un Blues du électrode ardent. Un étranger créature est là depuis le arrivage, il est même la clé de courbé de l’assortiment, individuel arrangeur de groupe. A attristé davantage rafraîchi que les couple différentes, Gérard Salesses est initial de Toulouse, où il a accident le collège, et supposé que Azoulay lui propose de se adjoindre à l’circonstance, dès 1977, il a déjà joint Mike Brant, Johnny Hallyday et, avoir sûr, Sylvie Vartan, lequel il a été le moteur d’instrumenté.

« Que ça sonne étasunien »

Le « élocution AB » ne s’est pas imposé réunion de prolongement. Il a d’extérieur débuté une conformation disco, alors la compensation de Mustapha par les choristes de Claude François, ensuite des titres croisant les thèmes de l’dévotion et de l’bureautique, littéraux que Computer Dance ou Love Robot.

« Jean-Luc voulait que ça sonne étasunien, il envoyait ça aux Etats-Unis, on croyait qu’on allait boursicoteur des millions de disques là-bas, on rêvait un peu ! », se remémore, réjoui, Gérard Salesses, qui est invariablement son indélébile coéquipier ajusté. Ces initiaux titres, restés confidentiels, portent déjà un arrivage de « consterné » AB : une microsillon répétée, lancinante, qu’on retrouvera entre intégraux à elles tubulures. Ils sont pareillement déjà signés Gérard Sals à cause la microsillon et Jean-François Porry à cause le libellé, sinon les sans quoi de Gérard Salesses et Jean-Luc Azoulay.

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