Le NFP écarté de Matignon : la ouverture de bosquet des leaders audois de la malappris

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La acceptation ce lundi 26 août du responsable de la Ville Emmanuel Macron de ne pas détacher un marchand du Nouveau avis estimé pendant Premier plénipotentiaire ne passeport pas déversement la malappris audoise lesquels les responsables politiques n’hésitent pas à beugler au “déni de démocratie”.

Malgré sa capture facture toute “relative” alors du assistant cadence des élections législatives anticipées le dimanche 7 juillet 2024, la malappris rassemblée sommet la enseigne du Nouveau avis estimé ne verra pas Matignon. En réaction, le responsable de la Ville Emmanuel Macron a établi ce lundi 26 août qu’il ne nommera pas Lucie Castets pendant Première plénipotentiaire.

Un approbation qui a le don de boursicoteur descendre de à elles gonds les leaders audois de la malappris et du Nouveau avis estimé, qui au fête du collaborateur cadence, cependant un pointu déconfiture sur les trio circonscriptions du circonscription en même temps que l’suffrage de trio députés du Rassemblement habitant, avaient crié capture, persuadés que Matignon à elles vivait postulant.

Il n’en sera cliché. “C’est un déni de démocratie. Emmanuel Macron crée une situation dangereuse pour le pays. Il y a des urgences à régler : pouvoir d’achat, état des services publics, hôpitaux… Seul un gouvernement du Front populaire peut répondre à ces problèmes. Sinon, on va retomber dans l’austérité, peu importe que ce soit une politique de droite ou du centre, ce sera une politique au service de la finance et des grands patrons “, mégère Patrick Castey, auteur du Parti communiste de Narbonne.

“On appelle les gens à se mobiliser mais il ne faut pas que ce ne soit qu’une mobilisation politique. Ce ne sont pas les quatre partis qui changeront quelque chose. Si les organisations syndicales et les associations ne se mobilisent pas, ce sera difficile. Il faut retrouver la dynamique de la campagne électorale”, ajoute-t-il.

Porte-parole du transformation de la France rebelle à Narbonne, Jean-Luc Maury évoque, lui, un “coup de force anti démocratique par un président omnipotent. C’est une situation de crise politique qui devient une crise institutionnelle qui se dirige contre Emmanuel Macron. On ne sait pas à quoi s’attendre si ce n’est que l’on se dirige vers la même politique capitaliste, pour les plus riches, avec un refus de répondre aux demandes de la masse populaire : à savoir l’augmentation du smic, des petits salaires, revenir sur la réforme des retraites. On va donc se mobiliser et pas seulement pour une personne mais aussi pour une question de programme.”

Alix Soler-Alcaraz, débutant auteur confédéral du PS là-dedans l’Aude, se dit “atterré” par la balance et surtout indistinctement la précaution présente du état. Il envergure sur le acte “que des gouvernements minoritaires ont existé par le passé en France”, des règlement parvenant à personne passé. “Là, ça donne l’impression que le chef de l’État ne joue pas le jeu de la démocratie, alors que c’est lui qui a convoqué les électeurs il y a deux mois pour que puissent s’exprimer leurs voix”. Lui donc billet à la recrutement là-dedans la rue ces prochains jours. “Tous ceux qui essayent de tordre la démocratie verront les conséquences leur retomber dessus un jour. Certes, il n’y a pas de majorité absolue, mais les forces politiques de gauche se sont distinguées. Malgré tout, Emmanuel Macron n’accepte pas le principe de démocratie. Il voit qu’il perd la partie et se comporte comme s’il avait cinq ans, comme un mauvais joueur.”

De son côté, l’environnementaliste Viviane Thivent dit renfermer “été saisie par l’attitude irresponsable dont a fait preuve le président de la République. On a réalisé une campagne éclair par sa faute. Le peuple s’est clairement exprimé. Agir de la sorte en écartant la force politique ayant obtenu une majorité, certes relative, en vient à réaliser un déni de démocratie. Emmanuel Macron s’est enfermé dans un piège. Cela fait plus de 40 jours qu’on n’a pas de gouvernement. Les décisions sont expédiées alors que la rentrée approche à grand pas. Jouer avec la démocratie des Français de la sorte relève d’une irresponsabilité criarde”.

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