Les supporteurs de Ligue 2 en malveillance pour le colporteur beIN Sports

Une banderole de soutien aux supporteurs de la Ligue 2 pendant le match Reims-Lille, le samedi 17 août 2024, à Reims.

C’est pour un environnement spécialement érodant que se déroulait, vendredi 30 août et chahut 31 août, la autre date de Ligue 2 (L2) de football. Le combat révolté les supporteurs et le colporteur beIN Sports depuis le débarquement du challenge, le vendredi 16 août, opportunément de la planification des matches n’incarnant invariablement pas réglé, de nouvelles protestations sont attendues pour les stades.

A l’préliminaire de la malveillance des supporteurs, un antagonisme sur le timing des trouves sportives. Prévue le chahut à 19 heures par la Ligue de football technicien (LFP) pour son adresse d’offres émis en septembre 2023, la séminaire multiplex de L2 a somme toute été décalée au vendredi à 20 heures et l’un des jeux au lundi crépuscule, à la méditation de la barrière du réuni qatari beIN Media Group. Cette dernière doit transmettre l’entièreté de la affluence jusqu’en 2029 et a déraciné le carnet de chèques verso ceci, à éminence de 40 millions d’euros par de saison.

Un alternance incessamment dérangé par les associations de supporteurs des clubs de L2, qui dénoncent la éducation des matches à des horaires hostiles verso se donner pour les stades, particulièrement verso les déplacements à l’apparent. Autour du propagande « Le foot, c’est le vacance », la désobéissance a permis dissemblables formes : plage des animations, banderoles de chicane en tribunes visant la barrière − « beIN Sports tue le foot » − et le dirigeant de la LFP, Vincent Labrune, lasers verts pointés pied les caméras et les commentateurs de la barrière sportive, jets de balles de tennis sur les terrains ou de fumigènes… Autant d’moeurs qui ont bientôt tragiquement perturbé la éducation traditionnelle des matches et, en résultante, l’ambulance et la planification de beIN Sports.

« Quelques débordements indéniables »

« Dire qu’on crache sur la Ligue 2, c’est sûrement exagéré ! », avait protesté Florent Houzot, le régisseur de la traité et des antennes de la barrière sportive, dès le 13 août pour L’Equipe. « Nous ne sommeils pas responsables de l’allocation tardive des libertés », s’était-il mieux défaussé. Dans une docte émissaire à l’Association nationale des supporteurs, beIN Sports s’rencontrait accident principalement offensif.

« Sans beIN, il n’y aurait virtuellement pas de multiplex du très, lesquelles que O.K. le hublot, beIN incarnant le esseulé colporteur à soupirer corroborer de précieux importante la Ligue 2 », avait affirmé son responsable, pressant sur le accident que « ce palier d’blocus hormis jurisprudence n’[était] probatoire qu’en programmant les jeux les vendredis, samedis et lundis ».

Cependant, la congestion est mieux source d’un intrépidité, chahut 24 août, tout autour de la affaire révolté Lorient à Grenoble, quand des dizaines de âmes encagoulées ont amalgamé le car-régie du fournisseur AMP Visual TV − qui filme les matches verso beIN Sports − en l’aspergeant de nuance. « Les moeurs de emballement (…) lesquels ont été victimes à nous partisan de agencement et nos collaborateurs n’ont aucune occupation pour le football et pour une association civilisée », avait réagi beIN Sports, cependant que la LFP avait « prohibé rigoureusement les moeurs de véhémence ».

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