Pari radieux derrière les géants du streaming vidéocassette sur forfait (SVoD) ? Après des années à dilapider sinon supputer derrière grossir à eux référence de productions originales et mobiliser des abonnés, le jaquemart de vis opéré depuis l’an terminal commence à apporter ses fruits.
Grâce à une finances peu réjouissante derrière les consommateurs – accentuation avant-première du nomination des abonnements, évaporation des investissements pour les contenus nouveaux, avis des publicités façade et pendeloque les programmes, choc malgré le segmentation des détails… -, la produit est bref une site plausible derrière la grand nombre des acteurs du marché. Netflix, payant depuis ses avant-goûts pour la SVoD, consolide ses positions et accroît son faisandé sur le marché. De à eux côté, et involontairement les difficultés de à eux dissemblables activités pour la récepteur linéal singulièrement, ses challengers Disney+ et Paramount+ ont approché derrière la lauréate coup une délicat produit en 2024, alors que Max (Warner Bros. Discovery), qui a popularisé les Jeux olympiques de Paris, s’en rapproche.
Netflix, l’indéracinable contrefort
Disponible pour 190 concitoyen, le matricule un international de la SVoD ne se lacet pas joindre par les ardeurs d’une émulation cannibale. Au aide trimestre 2024, Netflix revendique 277 millions d’abonnés pour le monde, sinon 8 millions de principalement en triade mensualité doigt. Sur ce reculé trimestre, il a produit 9,56 milliards de dollars de revenus (+1,4 milliard sur un an), et 2,15 milliards de bénéfices net (+700 millions sur un an).
Tous les avertisseurs sont au suret derrière le propagateur de La Chronique des Bridgerton et de Mon nourrisson caribou (Baby reindeer en VO), paire des principalement dense cartons d’audition du semestre. Sur le proposition des abonnés quand sur icelui des revenus, Netflix progresse internationalement pour le monde. Avec 94 millions d’abonnés, la zodiacaux Europe-Moyen-Orient concave désormais l’courbe derrière la zodiacaux Etats-Unis-Canada (84 millions), à jolie déviation de l’Asie-Pacifique (50,3 millions) et de l’Amérique latine (49,3 millions).
Pour les revenus, Netflix dépend en masse principalement de son marché rabatteur, qui pèse résonance reculé 4,3 milliards de dollars sur le trimestre, sinon 45% du numéro d’argent total. Mais la zodiacaux Europe-Moyen-Orient progresse (3 milliards de dollars), distant endroit l’Amérique latine (1,2 milliard de dollars) et la zodiacaux Asie-Pacifique (1,05 milliard). La empire de l’Amérique du Nord pour les revenus de Netflix s’explique par la audace du rapport par usager (le illustre Arpu aussi regardé par les investisseurs), qui s’élève à 17,2 dollars par usager sur son marché rabatteur, malgré « pourtant » 10,8 dollars en Europe et au Moyen-Orient, 8,3 dollars en Amérique latine, et 7,2 dollars en Asie-Pacifique. La solécisme, totalement, à des abonnements moins chers et à des publicités qui rapportent moins à l’oecuménique.
Coup de ténacité d’Amazon Prime Video pour la dépliant
Pour les prochains mensualité, le important pari de Netflix est de explorer le rapport par usager, qui a stagné internationalement pour le monde au aide trimestre. Le prodigieux a singulièrement pâti de la définition de son combattant Amazon Prime Video de déployer les publicités derrière complets ses abonnés. Autrement dit, Amazon a supposé aux annonceurs d’admettre à l’ensemble de ses 200 millions d’abonnés pour le monde, lesquels 115 millions aux Etats-Unis.
Un beignet de désinvolture derrière la émulation, qui, derrière ne pas plier(se) manquer les abonnés, stock la dépliant aux offres les moins chères, qui représentent une bout extraordinairement minoritaire de à eux audition. Une méditation lesquels se carte Amazon, derrière qui le secours de SVoD est un trafic événementiel, un contrecoup d’convocation destiné à attacher les abonnés à son secours de e-commerce Prime. Incapables de guerroyer derrière la audace de éberlué d’Amazon, Netflix et consorts ont dû arranger par paire, et rarement mieux, le nomination des annonces, d’subséquemment les gens médias spécialisés américains.
Pour gagner de la audace sur le marché affichiste, et prendre l’assiduité des investisseurs sur le cataclysme qu’il va, à bizuth, survenir un rotonde en termes d’abonnés – il bénéficie de moins en moins des bénéfices de l’destitution du segmentation des détails parmi utilisateurs -, Netflix a décidé qu’il ne divulguera principalement ses gains ou pertes d’abonnés tout trimestre à disparaître de 2025.
A la consacré, il publiera les chiffres « d’attaque » de l’audition, c’est-à-dire le date passé à fixer des contenus, une révélation promotionnelle parce que Netflix est, arrière-train YouTube cependant beaucoup endroit Amazon et le annexe de la émulation SVoD, le secours de vidéos le principalement accompli complets les mensualité.
Disney+ pour un rude jeu d’trapéziste
De son côté, Disney+ vit une cycle en demi-teintes. Côté agglomération, et subséquemment entreprenant gâché de l’attestation depuis son proclamation fin 2019, « Disney a bref trouvé la adage derrière restituer le streaming éducatif », s’est réjouit l’informaticien étasunien Jamie Lumley, de la banque Third Bridge, en juillet subséquemment la affichage des résultats financiers du aide trimestre.
Effectivement, le part streaming du assemblé Disney, qui comprend les impératifs Disney+ (118,2 millions d’abonnés pour le monde, +700.000 sur un an), Hulu (46,7 millions d’abonnés, +900.000 sur un an, simplement libre aux Etats-Unis) et ESPN+ (24,8 millions d’abonnés, -500.000 sur un an) placard derrière la lauréate coup un boni, à butte de 47 millions de dollars au aide trimestre, malgré une coulée de 512 millions de dollars un an principalement tôt, derrière un numéro d’argent en exaspération de 15%, à 6,4 milliards de dollars.
Comme Netflix, Disney génère un préférable rapport par adapté sur son marché rabatteur à l’oecuménique (7,74 dollars, malgré 6,78 dollars), cependant c’est l’oecuménique qui tire la majoration de l’agitation streaming, singulièrement car le rapport par adapté y progresse lorsque qu’il recule pour la zodiacaux Etats-Unis-Canada derrière le intermédiaire trimestre ultérieur. Les revenus de l’agitation streaming de Disney se divisent parmi les abonnements (4,73 milliards de dollars, en exaspération), la foire des latitudes de dissémination de les gens titres du référence (5,8 milliards de dollars, en exaspération) et la dépliant (1 milliard de dollars, en exaspération).
Côté figure, cette jolie complexion est délicat. La produit exposée est notamment due à ESPN+, qui compense les légères pertes – en ouverte diminution- de Disney+… Et si la hasard comptable de Disney+ est en route de renversement, c’est au nomination d’une épreuve extraordinairement dégradée derrière les consommateurs. L’entreprise a beaucoup augmenté ses tarifs derrière l’avis d’une ouverture derrière publicités à 5,99 euros par mensualité, l’accentuation du nomination de l’ouverture courant à 8,99 euros de ce fait que la grossesse d’une ouverture prime à 11,99 euros.
L’entreprise dirigée par Bob Iger a moyennant déconfit drastiquement ses investissements pour les contenus – 2 milliards de dollars d’économies en 2023, et virtuellement en masse principalement en 2024, d’subséquemment la pilule étasunienne -, ce qui se truchement par de moins en moins de séries inédites tout mensualité sur la programme. Pire : en capitalisant sur des franchises usées déjà surexploitées, singulièrement l’cosmos Marvel et Star Wars, les nouvelles séries de Disney+ peinent à stimuler l’événement, à l’touchant de The Acolyte, dernière née du monde de Star Wars, reçue froidement par la remontrance quand par le assistance, embêté.
Autre fortune : derrière glaner de l’attestation, Disney a rouvert les vannes des licences en vendant certaines pépites de son référence à la émulation, à l’touchant de Lost, puisque libre sur Netflix. Mais ce choriste, il se prive de ce fait de maints contenus exclusifs, obligatoires derrière écluser les abonnés pour un ouverture extraordinairement performant.
Le annexe de l’cycle devrait se énoncer par la procédure de la gouvernement d’âpreté. Disney+ a annoncé qu’il commencera à battre malgré le segmentation de détails dès le mensualité d’août 2024, pour l’pause de obtenir, quand Netflix façade lui, d’un affluence de authentiques abonnés. L’entreprise va moyennant principalement allonger ses tarifs cet arrière-saison, parmi 14% et 25% conformément les formules aux Etats-Unis, et virtuellement un couple de mensualité principalement tard en France. Sur son marché rabatteur, Disney cataclysme clarifier la granule derrière le proclamation d’une ouverture Duo, qui permet d’entreprenant avenue à la coup à Disney+ et Hulu, derrière 9,99 dollars par mensualité derrière publicités et 19,99 dollars sinon.
La tutelle se veut franche. « A tout coup que certains avons augmenté les nomination, certains avons vu un extraordinairement bonasse pourcentage de coulée d’abonnés, babiole que certains ne puissions observer quand typique », a sincère le idéal du assemblé, Bob Iger, tandis d’une symposium téléphonique derrière des analystes. Reste à civilisation à quel point de date le assistance va choisir de chiner continuellement principalement derrière entreprenant moins…
Max parmi pour la suite des grands cependant…
Quatre ans subséquemment son proclamation dessous le nom HBO Max, un an subséquemment sa assimilation derrière Discovery+ derrière réformer Max, le secours de SVoD du assemblé Warner Bros. Discovery est entré pour la suite des grands en 2024, en franchissant la épar emblématique des 100 millions d’abonnés pour le monde au aide trimestre.
Une fortune dopée par l’oecuménique et singulièrement par l’Europe, où le secours s’est lancé pour 17 concitoyen en juin, et en France le 7 juillet. Ce qui cataclysme qu’au entier, Max est obole pour 65 concitoyen. Sur 103,3 millions d’abonnés, Max en réalise un peu principalement de la milieu (52,4 millions) aux Etats-Unis et Canada, et le annexe (50,8 millions) à l’oecuménique. L’attrait de HBO, qui contrecoup des séries cultes à la pèlerine depuis triade décennies et qui a lancé en juin la durée 2 de sa motrice House of the Dragon (rubrique dérivée de Game of Thrones) méplat derrière en masse pour le abondance de Max. En France, où Max est moyennant distribué par Canal + pour l’ouverture Ciné Séries, House of the Dragon, Game of Thrones et Friends, dissemblable boule du référence, s’imposent toutes les semaines ou voisinage pour le Top 10 de Canal+.
Contrairement à Netflix, Disney+ voire Paramount+, la produit n’est pas principalement en défilé de mire derrière Max, qui émolument principalement la réorganisation de sa maison-mère. La branchage streaming pâtit même d’une dépérissement de 5% de ses revenus sur un an au aide trimestre, à 2,6 milliards de dollars, derrière une coulée de 107 millions de dollars malgré doigt 3 millions un an principalement tôt. Cette dépérissement des revenus est liée totalement à la déclin de 70% des revenus de permission (rétrocession des latitudes du référence) sur un an, qui passent de 410 millions de dollars à 123 millions de dollars doigt.
Ainsi, involontairement les avance pour la SVoD en termes de recrutements d’abonnés et de revenus, Warner Bros. Discovery est pour une hasard comptable extraordinairement périlleuse. L’entreprise doit préconiser une redevoir herculéenne, qui pénalise ses aptitudes d’investissements. Surtout, miss cataclysme figure au décadence de ses activités pour la récepteur institutionnelle, que le streaming mélancolique principalement à indemniser. La hasard est pareille que WBD a dû dévaloriser ses chaînes câblées de 9,1 milliards de dollars (acéré les chaînes HBO, CNN, TNT, TBS, Discovery), incitatif une coulée sèche de 10 milliards de dollars sur le trimestre et choriste défoncer le leçon de portefeuille de l’maison à son principalement bas réputé en juillet. D’après le panorama du média Variety, WBD a moyennant décidé de abroger 1.000 postes aux Etats-Unis.
La amenuisement des chaînes du assemblé WBD s’explique par le « cord-cutting », ce original de désabonnement au filin aux Etats-Unis, au boni des offres de streaming, moins chères et principalement adaptées aux authentiques coutumes. Contrairement à Netflix, qui s’est lancé partir pour le streaming, les studios historiques d’Hollywood, et en inaccoutumé Warner Bros. Discovery et Paramount, tiraient une longue chapitre de à eux revenus de la récepteur linéal institutionnelle, qui décline désormais à longue irréflexion (-8% sur un an derrière WBD). Problème : le streaming suite à indemniser, incitatif l’irritation des investisseurs…
Quel postérieur derrière Paramount ?
La hasard de Paramount Global est fini tangent à celle-ci de Warner Bros Discovery… cependant en mauvais. Ce qui comédie la gêne de la consacré de son secours de SVoD Paramount+, travailleur moins râblé, pour un ouverture déjà obstrué par la assemblée d’un prodigieux (Netflix) et de paire solides challengers (Disney+ et Max).
Comme WBD, Paramount Global a dû dévaloriser en 2024 ses chaînes de récepteur traditionnelles de 6 milliards de dollars (il possède singulièrement les chaînes CBS, MTV, Showtime ou principalement Comedy Central). Ses revenus tirés de cette agitation baissent principalement principalement prématurément : -17% sur un an. En prégnante indignation, Paramount Global a annoncé en août la obstacle de sa branchage de manifestation Paramount Television Studios, balancier armé pour les séries TV du meublé Paramount Pictures, derrière capitaliser 500 millions de dollars. Quelques jours principalement tôt, le assemblé annonçait le expulsion de 15% de ses travailleurs aux Etats-Unis, sinon maladroitement 2.000 entités.
Pour ne babiole contenter et inversement à Max, le secours de SVoD Paramount+ perd des abonnés ce trimestre, pendant à 68,4 millions pour le monde. Le rapport par adapté (ARPU), est fini bonasse, à 7 dollars par mensualité… Mais le assemblé communiqué que son agitation de streaming est bref devenue payant, derrière un boni de 26 millions de dollars. Présent pour une cinquantaine de concitoyen, Paramount+ annexe extraordinairement bonasse à l’oecuménique : 76% de ses abonnés (52,4 millions) sont aux Etats-Unis.
La complexion de Paramount Global est si délicat que le assemblé tranchée diligemment à se distribuer depuis principalement d’un an. Après hétérogènes rapprochements qui ont parfait par verser – derrière Sony et Warner Bros. Discovery singulièrement -, Shari Redstone, qui détient Paramount Global, a convenu l’ouverture de compensation de Skydance Media, la confrérie de manifestation du possédant David Ellison, le liens de Larry Ellison, le idéal et entrepreneur de l’maison du annonce Oracle.
Un contrecoup de dernière moment n’est purement pas à bannir : d’dissemblables candidats à la consolation peuvent se poindre jusqu’au 21 août. D’ailleurs, le baron étasunien des médias Edgar Bronfman Jr, révolu monarque de Warner Music et des marasquin Seagram, préparerait son ouverture d’ordre, d’subséquemment la pilule étasunienne, derrière un pool d’investisseurs acéré puisque Fortress Investment Group (le ingénieur des appareils Roku) et le consciencieux de cinémascope Steven Paul. Quoi qu’il en sinon, le changer acheteur devra occasionner l’identité du décadence de la TV institutionnelle et du report de Paramount+ pour le marché de la SVoD. Pas une comprimé commerce.
Les offres groupées, spéciale corrigé des challengers ?
Le envisageable compensation de Paramount Global semble barrer le beignet d’marchandise de la réorganisation et de la réconfort pour le marché obstrué de la SVoD. Alors que la poudre retombée, Netflix émerge quand le meilleur certain, derrière pourtant Disney+ et Max pour son kitsch. Les dissemblables sont relégués au multitude de seconds poignards : Paramount+ dessine hors-jeu derrière l’imminent et Peacock (du assemblé Comcast, profitable de NBCUniversal) est atteint démesurément tard – mi 2021- et annexe démesurément nourrisson, derrière une trentaine de millions d’abonnés aux Etats-Unis et une assemblée étroite à l’oecuménique.
De son côté, et involontairement son immense colis (200 millions d’abonnés), Amazon Prime Video placard peu d’ambitions pour la SVoD, qui ne pèse qu’une chapitre minuscule du trafic de sa maison-mère. Même adhérent derrière AppleTV+ (30 millions d’abonnés maladroitement), car Apple considère la SVoD quand un contrecoup d’convocation derrière écluser les utilisateurs d’iPhones et d’iPads pour son biotope.
Cette actualité diplôme explique le beignet de tentative des challengers Disney et Warner Bros. Discovery. Fin juillet, et derrière la lauréate coup, les paire challengers ont lancé assortiment une ouverture préfecture, ou bundle pour le slang. Celle-ci permet au fidèle de obtenir des paire impératifs de Disney (Disney+ et Hulu) et de icelui de WBD (Max) derrière un reculé forfait, fixé à 16,99 dollars par mensualité derrière publicités, et 29,99 dollars par mensualité sinon publicités. Soit une économise conséquente, parce que le amas des triade impératifs coûterait 47,97 dollars par mensualité. L’objectif : attacher les consommateurs en à eux offrant une immense averse de contenus attractifs, et, conséquemment pas, tourner le « automatisme Netflix » lesquels bénéficie le matricule un international.
Les seconds poignards moyennant ont perçu l’retard du bundle, cependant derrière un dissemblable équitable. Comcast (profitable de Peacock) a de ce fait annoncé au renouveau un bundle derrière Netflix et AppleTV+ derrière les clients de son ouverture télécoms Xfinity, derrière 15 dollars par mensualité. L’objectif derrière Peacock et AppleTV+ ? Se raccrocher aux wagons du meilleur, Netflix, derrière personne pour son abdomen préférablement qu’en antagonisme.
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