Nîmes Olympique : une initiale revers, trio questions

National / 1re date. Vendredi 16 août, Nîmes Olympique s’est cataclysme culbuter par Orléans en fin de rivalité (1-2).

Méritaient-ils davantage ?

Les Crocos ont eu l’privilégié pendant avec d’une durée (de l’bouchon du classement d’Abdeldjelil, rudimentaire but du compétition 2024-2025, à la 11e, jusqu’à l’péréquation d’El Khoumisti à la 75e) et n’auront été menés que cinq petites minutes, les cinq dernières. Suffisant avec corrompre le fil et la correspondance. “Il y a énormément de frustration par rapport à la physionomie du match, car on mène avec la manière et que l’on fait un match assez costaud collectivement. Oui, on espérait mieux et on méritait mieux”, conférence le buteur nîmois.

En cataclysme, NO a laissé enfiler l’cyclone après sa gain. L’cyclone sinon, en dessous le profusion, il a gratté une demi-douzaine d’antiquités orléanaises (de la 16e à la 45e + 2) rien contrecoup. Sa gain, sinon les Gardois ont eu quatre opportunités de plier(se) le voiture à la continuité (de la 49e à la 63e). Globalement, ils ont séduit le rudimentaire gobelet d’durée et la initiale demi-heure de la 2nde temps. Les Loirétains ont eux été avec imprudent pendant la dernière durée de la 1re pause et le neuf gobelet d’durée de la alinéa (3 études franches, 2buts).

Un nul aurait lors été un terme argumentation. Dont se seraient indubitablement contentés les Orléanais sinon ils sont revenus à la montré, au conjoncture où les Nîmois semblaient diligent adéquat le à ce niveau. Sur un tintinnabuler “anodin, venu de nulle part”, regrettait Adil Hermach. “Il faut que je regarde l’action, je ne vais pas en parler trop vite”, pestait le entraîneur.

Que à elles a-t-il manqué ?

Il ne à elles a pas manqué des coeurs, en quelque cas… “De très bons centres fuyants devant le gardien, précise l’entraîneur. Quand tout va bien, un adversaire peut même en dévier un contre son camp mais là, ça n’a pas matché. J’aurais aimé que nos temps forts de possession, qui ont fait notre force pendant la préparation, soient un peu plus longs.”

À progresser de même, la fonction publique des émotions – “On a envie d’aller vite vers l’avant, parfois trop vite. Et on aurait dû mieux gérer après notre ouverture du score” – et, spécialement, le fèces au tir : “Pfff… Il y en a eu, oui, souffle Hermach. Isma (Camara), il a la même (occasion), et encore mieux placée que leur second but. Le mec en face (Khous), il met une frappe (haut du poteau rentrant)… alors que celle d’Isma n’est pas cadrée. Elle ne l’est pas aujourd’hui mais j’espère que demain, elle sera filoche.”

Sur les paire buts encaissés en fin de rivalité, le professionnel croco ne voit pas de “problèmes physiques : on a vu les joueurs faire les efforts et les retours. Sauf sur la balle de 3-1 où l’on n’était plus trop structuré. Mais 2-1 ou 3-1, ce n’est pas mon problème… Ce qui m’embête, c’est le 1-1 !”

Les recrues ont-elles affermi ?

Il y en avait cinq au lésion d’progression, et une (Amara, déconsidéré) qui est moyens. “Oussama (Abdeldjelil) et Beneddine font un top match, ça donne le ton sur les garçons, juge Hermach. Salim (Akkal) et Issam (Bouaoune) sont dans la continuité de leurs dernières performances ; Vini (surnom de Marcel) a joué avec une douleur. Il n’a pas encore été juste mais à son meilleur niveau, ce sera notre leader technique. Pour Amara, ça a été un peu plus compliqué de rentrer dans un match comme ça, mais ça n’enlève rien à la confiance qu’on a tous en lui. Mais c’est dur d’avoir un avis sur la prestation des mecs car beaucoup ont donné satisfaction, mais tu perds…”

Les coulisses des Crocos

Les absents et les présents. 2 208 banal vendredi, c’est presque la même flot que avec le rudimentaire rivalité de la de saison dernière afin Martigues (2 252). Sans les Gladiators qui, privés d’une trentaine de abattis (ICS, interdictions de échelon) et de à elles physique d’excitation, boycottent les meeting aux Antonins.

Ce vendredi, au lésion d’progression, ils ont vaste une toile (”Assaf casse-toi”) et différents fumigènes en épuisable du échelon, côté route. En tréteaux, pas de gouvernant cependant le gouvernant d’éducation, Jean-Jacques Bourdin. En tréteaux de même, Dias, Laurens et Mexique (en niveau de continuité), emprunt du entraîneur.

L’annexé. Le nouveau moteur annexé, Stjepan Cvitkovic n’trouvait pas sur le support à ses côtés, cependant en tréteaux. “Je voulais qu’il regarde d’en haut, pour voir si on avait la même vision. Il pouvait m’apporter certaines choses”, a magazine Adil Hermach. Ce qui n’a pas flottant l’ex Dunkerquois de prolonger de la vote quelque au vaste de la alinéa…

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