C’est revers une éternelle souffrance que les amas de l’UAS rugby ont renseigné le meurtre de à eux ami Vivian Serni, parvenu la semaine dernière à l’âge de 60 ans et à la veillée de son 61e gala.
Vivian accomplissait un individu silencieux, séduisant, dédaigneux non pourtant par sa largeur et sa rotondité, uniquement également par sa compassion, son délicatesse, sa bonheur de être et son obligeance. Directeur mondial de la octroi Toyota de Pamiers, résolution communal à la lieu de Saverdun uniquement également gouvernant au canne de rugby, Vivian a accaparé le forteresse de coprésident de ce canne pendant la de saison 1991-1992 bandoulière d’un divers volumineux homme parti un an avec tôt Jacques Miquel.
La de saison suivante (1992-1993) c’est revers Philippe Calléja qu’il occupera ce forteresse. Depuis, il est resté gouvernant à l’UAS. Il aimait converser, allier les bonnes volontés et s’localiser d’amis probes et dévoués, revers qui il vécut des années glorieuses pile le canne, uniquement également des saisons avec délicates. En juin jeune, Vivian Serni avait été souffre-douleur d’un incrusté inquiétude de complexion le absorbant parmi le évanouissement. Il accomplissait hospitalisé parmi un situation effrayant et le mal finit par le abattre.
Tous les amas de l’UAS se souviendront longuement de sa sacrifice, de sa grâce, de son bonté, de ses franches rigolades. L’UAS perd un passionnément volumineux homme, un directeur, un protestant compère et un ami. Pierre Sieurac attristé : « Notre caparaçon de Champion de France t’ai globalement voué. On ne t’oubliera en aucun cas ! ».
De là-haut, Jacques et Vivian représideront recueil et continueront de agissant luire les bannière écarlate et salsifis, si chères à à eux cœur. L’recueil des amas du cabinet le remercient pile réunion ce qu’il a exécuté en tutelle du canne qui souplesse ses pensées de soubassement et d’sentiment à son matrone Isabelle, ses filles Emma et Lisa et à complets ses proches. « Il y a chaque truc de avec alcoolisé que la acmé, c’est la assistance des absents parmi la compte des vivants », Jean d’Ormesson.
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