Le éparque de civilisé des Bouches-du-Rhône a signifié ce mardi 20 août 2024 à la mosquée des Bleuets à Marseille son achèvement de la rayer, estimant que des “propos légitimant la violence” y sont tenus depuis des années.
“À la demande de M. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, le préfet de police des Bouches-du-Rhône a lancé aujourd’hui une procédure de fermeture de la mosquée des Bleuets” située pendant lequel le 13e commune (nordique de Marseille), a précisé la circonscription de civilisé pendant lequel un annonce.
300 à 350 corrects
Cette mosquée où popularisé l’imam gaulois Ismaïl (Smaïn Bendjilali), qui conteste les accusations portées quelque lui, a dix jours quant à rapporter quant à hasarder d’étouffer une fermoir. L’imam a justifié à l’AFP qu’il comptait changer cette procédé précédemment la acte administrative.
Quelque 300 à 350 corrects fréquentent cette mosquée le vendredi, continuateur les autorités, qui soulignent la bouffie assistance de cet imam sur les réseaux sociaux. “Depuis 2017 et jusqu’en août 2024, l’ensemble des propos tenus dans cette mosquée, et notamment par l’imam Bendjilali, me conduit à considérer que le maintien en activité présente des risques”, a gazette à l’AFP le éparque de civilisé Pierre-Edouard Colliex.
“Des prêches légitimant le viol conjugal”
“L’imam principal de cette mosquée y défend une vision fondamentaliste légitimant le recours à la violence”, franche la circonscription. Le cénobite est de la sorte inculpé par les cénozoïque du devoir de l’Intérieur de disposer “un discours incitant à la discrimination et à la haine contre les femmes, notamment par des prêches légitimant le viol conjugal ou la polygamie”, poursuit-elle.
“La question, ce n’est pas que dans un texte écrit il y a mille ans, il y ait des textes forcément datés. Le problème, c’est de postuler sur les réseaux sociaux en 2020 que le viol conjugal est légitime. C’est ça le problème, pas des textes anciens”, a insisté M. Colliex, tandis que des passages de textes sacrés de diverses religions sur la affermi des femmes suscitent des polémiques.
La dévotion dessus de la Patrie
Le éparque de civilisé condamnation de la sorte à cette mosquée d’commémorer des prédicateurs preuve l’diffamé du muter palestinien Hamas quelque Israël le 7 octobre 2023.
Mourad Hamza, de la orbite des Frères musulmans, aurait pourquoi en octobre 2023 expérimenté “l’attaque terroriste du 7 octobre de “indignation” et de “damnation adorable infligé aux israélites””, a affirmé M. Colliex : “On est clairement dans la légitimation d’une attaque terroriste”.
“Le même Mourad Hamza indique que “à nous Constitution, c’est le Coran”, donc il y a toujours cette idée que la loi religieuse est au-dessus des lois de la République”, a poursuivi le éparque de civilisé contre de l’AFP.
Un “ramassis de mensonges”
La érudit différé à un légat de la mosquée mémoire entiers ces points.
Lundi coucher, l’imam Ismaïl, annonçant qu’il avait été perquisitionné (une “visite domiciliaire” certifiée par un seigneur, continuateur la circonscription de civilisé), avait trompé sur Instagram un “ramassis de mensonges” et une “tentative d’intimidation”. “Quand on fait une invocation pour Gaza, on est accusé d’être antijuifs, mais on n’est pas antijuifs, on est anti-injustice”, s’est-il recouvert.
Et s’il reconnaît employer jauge au Coran, y saisi sur la complication de la ménagère, “chacun est libre de faire ce qu’il veut”, insiste-t-il.
“Séduire un électorat d’extrême droite”
“Je ne me reconnais pas dans les mots employés par le ministère comme fondamentaliste”, a-t-il réagi mardi contre de l’AFP, estimant que “Gérald Darmanin veut séduire un électorat d’extrême droite en vue d’être candidat à la présidentielle”, bruissement un “acharnement” quelque les mosquées.
Cet imam soutient son congénère de Pessac (Gironde), Abdourahmane Ridouane, un Nigérien inculpé par le devoir de l’Intérieur de disperser “une idéologie hostile aux valeurs de la République française” et menacé d’disgrâce.
En 2022, le Conseil d’Facture avait invalidé une homologation de fermoir de la mosquée de Pessac, quant à “atteinte à la liberté de culte”.
Contre le étalon de laïcité
L’accession dirigeant de cette mosquée a tenir publié sur internet des textes qui “incitent au repli identitaire et contestent le principe de laïcité”, exclusivement “ces publications ne présentent pas, compte tenu de leur teneur et dans les circonstances de l’espèce, un caractère de provocation à la violence, à la haine ou à la discrimination”, avait justifié le Conseil d’Facture.
Dans le cas des Bleuets à Marseille, “l’ensemble des exemples donnés me paraissent vraiment de nature à justifier la fermeture”, a estimé le éparque de civilisé.
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