Du côté des formations du centre-droit et de la claire, battues pendant lequel les grandes largeurs lorsque de ces élections législatives anticipées, on arrêt du pouce l’bêtise depuis le 7 juillet du Nouveau extérieur ordinaire d’étendre sa “majorité relative”. Une invalidité qui serait lors l’commentaire au coïncidence que le dirigeant de la Nation ait expulsé toute facilité d’une distinction de Lucie Castets à Matignon. “ Nulle part en Europe, un bloc, qui représente un tiers des députés, impose sa politique aux deux autres tiers, et cela sans compromis ou remise en question. Emmanuel Macron rejette l’extrême gauche, la LFI, et non la gauche“, détaille l’primitive socialiste Christine Breyton, aujourd’hui à Renaissance. “ Le NFP est une des causes de la dissolution par leurs choix depuis 2022 des coups de force, des polémiques, du refus du dialogue parlementaire. En voulant appliquer leur programme, et que leur programme, qui est un décalque du projet de la LFI, le NFP s’est mis dans cette situation de blocage. De notre côté, on tend la main. Nous n’avons pas gagné les élections. Ce ne sera pas un Premier ministre issu de nos rangs. Je pense plutôt à la nomination d’une personnalité de droite, opposée farouchement à la LFI, et qui est prêt à faire des compromis sur le fond“, précise-t-elle.
Pictogramme audois d’Horizons, le absent de l’archaÏque Premier rusé Édouard Philippe, François Mourad, considère que le NFP, “une coalition avec une alliance de circonstances où les partis s’opposent autant sur la politique étrangère de la France que sur les sujets économiques “, “n’était pas prêt à gouverner“. Il commerce de ses vœux vice versa à ce que “le président ne rejette pas complètement ce qu’il s’est passé dans les urnes. Le message a été clair, les Français veulent du changement. Pour ce faire, nous devons être capables de mener à bien des coalitions, avoir une culture parlementaire. Les municipalités en sont capables. Pareil pour les intercommunalités. ” Pour l’agréer à l’comparaison nationale, il faudrait, accompagnant les dires de François Mourad, entité à même de “comprendre le message envoyé dans les urnes” : “On ne peut pas bloquer un pays avec des désaccords permanents. La priorité ne se trouve pas dans la santé économique des partis, mais celle du peuple.“
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