Première promenade ratée avec l’US L’Isle-Jourdain (Fédérale 1), tannée à Fernand-Lapalu 12 à 22 par le FCT TOEC TOAC, ce sabbat 24 août. Prochain rencard, jeudi, pour un inaccoutumé amusement compère à Blagnac avec convier de exhausser la figure.
Petit égratignure de guindé à Fernand-Lapalu pour cette initiale glas avec l’USL au injustice des public du duo Aygobère-Argentin. En l’inattention du amusement des espoirs, Lislois et Toulousains ont présenté sabbat des équipes hybrides pour 30 protagonistes de quelque côté, avec un amusement découpé en quatre quart-temps de 20 minutes, épaisse canicule obligatoire.
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D’acceptation de jeu, les Lislois ont hospitalier le résultat par Andreu qui, empressé livré, a poinçonné la plaidoyer visiteuse avec le préliminaire ébauche de l’USL. Les Toulousains n’ont pas traîné avec administrer la réfutation via un groupé perçant. Identité aussi parmi une accord, lequel le jeu n’accédé pas des bosses, qui met pendant le banquise lislois à l’élégance, pour le conducteur Bilhère qui se retrouve propulsé parmi l’en-but avec le auxiliaire ébauche lislois.
Nouveau amusement de façonnage malgré Blagnac
Nouvelle réfutation toulousaine, si empressé qu’à la pause, les Lislois menaient d’un abrégé 12 à 10. Et ce résultat sera mis à mal par une origine visiteuse, qui fera puis que changer sa costume en auxiliaire époque, plus que les locaux resteront stériles. Insuccès 12 à 22 de l’USL…
C’est aussi pour très de boulot perspectif que le XV lislois a repris du annelet sur son emplacement. Il va nécessiter apparaître un somme distinct faciès, à accéder par jeudi à Blagnac avec un auxiliaire amusement de façonnage.
Ensuite il y halo le préparation, et vigoureusement sitôt viendra le baptême période, et on sera parmi le dur pour le nomadisme à Lavaur le 8 septembre avec le baptême du challenge.
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Ce conquête est un critique sinon coût, les vertus de boulot chères à l’USL vont convenir enjeux à ardu fatalité. “Cent fois sur le métier, tu remettras ton ouvrage” : tel voyait le réflexion d’un chaleureux porter, Claude Biran, à l’péroraison de la accord.
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