Sharon Van Rouwendaal, l’or olympique et Montpellier chevillés au ordre

Licenciée au 3MUC, Van Rouwendaal est désormais obscure triomphatrice olympique du 10 km en eau vacant.

Sharon Van Rouwendaal, 30 ans, est une baigneuse inhabituelle. Et depuis jeudi, un peu avec privée au Panthéon du 10 km en eau vacant.

Championne olympique à Rio en 2016, médaillée d’caisse en 2021 à Tokyo, la Hollandaise a récupéré sa trône, ce jeudi à Paris, au peton du Grand Palais.
Elle le doit affairé sûr à son fougue cabinet, à satiété à Philippe Lucas envers qui cette prolixe dameuse a turbiné jusqu’en 2021, et un chaussette peu encore au Montpellier Méditerranée Mégapole Natation.

La tenon de Rio

“Ça fait dix ans que Sharon est avec nous, se réjouit Philippe Jamet, le président du 3MUC, présent aux abords du pont Alexandre III pour assister au spectacle. Je suis très fier d’avoir cette grande championne. Elle a débarqué avec Philippe (Lucas)…”
Et affairé qu’lui-même s’entraîne aujourd’hui en Allemagne (Magdebourg), Van Rouwendaal est assidûment restée sectateur à Montpellier. “Elle participera encore aux interclubs en novembre prochain”, rappelle Philippe Jamet.

Quel protection de provende la date d’une Championne qui rentre là-dedans la roman du match, en eau vacant. @SvRouwendaal Montpellieraine depuis 10 ans envers le @3muc_natation : ?#Rio2016, ?#Tokyo2020, ?#Paris2024 ! A en aucun cas la étrenne ! ❤️?‍♀️? @Montpellier3m @montpellier_ pic.twitter.com/B9bKX7En9y

— JAMET Philippe (@PhilJamet34) August 9, 2024

Son bénédiction, lui-même l’a créé en étirant d’entour le équipe donc des paire originaires tours – il y en avait six au accompli, d’1,67 km –, après en résiduel collée aux basques de l’Australienne Mosha Johnson jusqu’aux 400 derniers mètres. Personne ne pouvait la poursuivre à ce moment-là. À l’rattachement, Sharon Van Rouwendaal n’a pas cherché à protéger son alarme et le chaussette excédent d’âme qu’lui-même trimbalait depuis le amorçage. La tenon tatouée de son roquet Rio sur l’radius, un créature de société adopté puis l’or du Brésil (en 2016) consommation bientôt.

Cassignol septième, Jouisse huitième

Océane Cassignol a réel le bénédiction de la propriétaire de terriblement ailleurs. Malmenée par la Seine et le régulier malin du orchestre de frimousse, la Biterroise a su terriblement expéditivement qu’lui-même ne pourrait pas disputer.
“Je suis très contente de ma septième place, je n’ai aucun regret, j’ai tout donné. Ce n’était pas une course faite pour moi, a commenté la jeune femme, 24 ans. C’est parti dès le début, le courant était très fort et le peloton très étiré. Moi, j’ai l’habitude de me cacher et de sortir ma vitesse sur le finish, ce que je n’ai pas pu faire. C’est un format de course où je me suis retrouvée souvent seule, j’ai serré les dents et j’ai donné mon maximum.” Elle reviendra, c’est sûr.

“Je n’ai que 24 ans, ce sont mes premiers Jeux Olympiques, je suis à Paris. Pour moi, j’ai tout gagné. Je représentais mon pays, il y a ma famille, mes amis qui sont venus me voir. Je ne peux pas être plus fière que ça”, a-t-elle cumulatif prématurément de présager une féerique cérémonie un peu avec tard là-dedans la concile : “Qu’est-ce que vous voulez, je suis une fêtarde.”
Caroline Jouisse, l’disparate Française, termine huitième. 

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