Surprise au palabre communal de Montauban : ensuite la renonciation de Brigitte Barèges, Solal Gea et Philippe Fasan quittent la nombre

l’fondamental
Lors du palabre communal qui a propulsé Marie-Claude Berly procureur de Montauban, en Tarn-et-Garonne, lundi 19 août 2024, un duo de élus de l’première nombre de Brigitte Barèges, procureur dans 23 ans démissionnaire vu qu’favorite députée de la vernissage division du paroisse, ont annoncé qu’ils ne voteraient pas en protection de la énumération canalisation par l’première vernissage adjointe.

Comme matérialisé par La Originale, la nombre au palabre communal de Montauban, en Tarn-et-Garonne, a été secouée de divers tourbillonnement à l’avoisinant de la annexion qui allait lancer Marie-Claude Berly pardon fiction procureur de la cité. Juste monsieur l’désignation de la énumération des adjoints de la fiction favorite, Solal Gea a souhaité agir la pensée.

A dévisager autant :
ENTRETIEN. “Je ne serai pas un maire de pacotille”, assure Marie-Claude Berly, fiction procureur de Montauban

Le dernier-né du palabre a d’entour adressé ses “félicitations républicaines” à Mme Berly. “Vous étiez a priori la plus légitime”, a-t-il dit. Indice que des paroles abondamment moins agréables allaient couvrir, lui qui réalisait jusqu’avec recommander communal messager à l’occupation de la vie agrégative et aux usines prescrits.

“C’est profondément humiliant”

L’élu s’est acte le représentant de Philippe Fasan, absorbé ce lundi, qui réalisait additionnel de bout messager à la concorde de l’événement à cause les quartiers, s’en reliant d’entour à Mme Barèges. “Sur la forme, je trouve vexatoire, Mme la députée, de ne pas avoir prévenu vous-même que vous ne souhaitiez pas le reconduire après dix ans de bons et loyaux services.”

A dévisager autant :
RÉCIT. Jusqu’avec vernissage adjointe de Brigitte Barèges, Marie-Claude Berly a passé l’minerve de procureur de Montauban

Il s’est alors adressé à la procureur favorite. “Vous tenez à mon sens un discours à double sens, vexatoire et hypocrite. Vous dites à M. Fasan que vous avez longtemps mûri votre réflexion. Vous n’avez fait qu’appliquer ce que l’on vous a demandé d’appliquer. Vous dites que c’est à contrecœur mais c’est profondément humiliant. Et j’ai une pensée pour Quentin Sucau, qui n’a pas démérité à la culture (remplacé par son prédécesseur Philippe Bécade, N.D.L.R.). Raison pour laquelle je voterai contre cette liste”, a-t-il admis.

“L’occasion de retoiletter notre équipe”

Il n’en fallait pas mieux contre un recadrage de l’première tenancière. “Vous avez de la chance que j’aie souhaité prendre un benjamin pour montrer que nous étions dans le renouvellement, a grincé Mme Barèges. Vous êtes moissagais de plus, pas montalbanais. Quand vous avez trouvé un travail de directeur de cabinet en région parisienne, je vous ai dit qu’il conviendrait de démissionner. Vous vous êtes accroché à ce poste. […] Pour donner des leçons de morale, il va falloir vieillir un peu et apprendre la vie”, a critiqué la députée.

Avant de codifier le “cas” Fasan. “C’est bien qu’il ait le courage de venir aujourd’hui. Cette élection était l’occasion de retoiletter notre équipe municipale. Ni vous ni M. Fasan n’en faites partie”, a rétorqué Brigitte Barèges.

Marie-Claude Berly a, miss, “assumé le choix que nous avons fait avec Brigitte Barèges quant à Philippe Fasan. Nous nous sommes partagé les bonnes et les mauvaises nouvelles. Je peux comprendre sur le plan humain qu’il n’ait pas apprécié le coup de téléphone que je lui ai donné. Mais ça n’a rien à voir avec la façon dont on conduit une municipalité.”

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