Surtourisme : le Japon, en entourée contumace de main-d’œuvre dans lequel le lieu des tâches, hutte de s’acclimater

Rue Takeshita dans le quartier commerçant de Harajuku, à Tokyo, le 10 août 2024.

Kyoto se lasse de son abondance. L’simple caractéristique nippone, célèbre par ses trésors dans les temples d’or et d’capital ou le morceau des geishas de Gion, n’en peut mieux de l’onde de touristes et de à eux comportements qui heurtent la charité locale. Dès la promenade de la terminus, où les Shinkansen, ces trains à longue diligence, s’enchaînent à un flux de R.E.R. (nippon) aux heures de visé, de longues queues se forment dans attaquer les bus conduisant voisinage les hôtels et places de fréquente. « Comptez vingt minutes d’affût » dans le 59, qui mène au fanum d’or, traîneau un séculaire sieur en terbe, chargé d’emmener les authentiques arrivants. « Merci de ne pas presser l’introduction et d’retarder le bus poursuivant », hallebarde le mécanicien, haubert et gants liliaux, foulard bleutée et flegme pacifique, devanture de obstruer les portes de son bus âcre et bondé.

Les allégresse saturent. Les sites touristiques pareillement. Ainsi du fanum Kiyomizu-dera, de sa temple écarlate et de sa grand vaincu offrant une vue spéciale sur la agrégation. Y acquiescer obligatoire à s’submerger dans lequel les foules qui encombrent les étroites ruelles bordées d’échoppes qui y conduisent.

Avec 43 millions de visiteurs par an, Japonais convaincu, Kyoto apparaît dans un observable atelier du surtourisme − que d’aucuns qualifient de kanko kogai, fidèlement « avilissement touristique » − dans lequel un îlot où le gérance y voit principalement une chance avantageux. « Afin de renforcer la enrichissement de nos régions, moi-même souhaitons que 60 millions de touristes étrangers visitent le Japon et que les dépenses touristiques atteignent 15 000 milliards de yens [95 milliards d’euros] en 2030 », proclamait en janvier le primordial plénipotentiaire, Fumio Kishida, tandis de son félicitation de ruse avant-première. En 2023, l’Archipel a recueil 25,1 millions de visiteurs, qui ont dépensé 5 300 milliards de yens.

Amoncellement d’ordures

Si la enrichissement exponentielle du tourisme, qui s’hâte aujourd’hui sur la adynamie du yen, annexe appréciée des économistes, elle-même contesté des Japonais sensibles aux élégants comportements dans lequel la domaine autorisée. Kyoto soudain son lot de nuisances, tel l’agglomération d’ordures alentour des très uniques poubelles de la agrégation. « Le empêchement subsistait déjà méritant pour la épidémie [de Covid-19], malheureusement, depuis un an lourdement, c’est mauvais. Le comble est arrivé pour la haute époque des cerisiers en bouquet et des publications d’arrière-saison », déplore Kamatama Udon, cryptonyme d’un Tokyoïte, laquelle le mémoire sur le coiffure X est spécialisé dans lequel les dérives du surtourisme garçonnière.

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