Tatouage : le corps-à-corps de Sylvain derrière la lutte et l’témoignage aux poilus de 14-18

Sylvain Guéguen, chez lui, à Huparlac, dans l’Aveyron, le 5 juin 2024.

« L’internat ne m’a pas laissé que des charmants mémoires. Je ne voulais pas gonfler. Alors, ma génitrice, qui accomplissait poussiéreuse, m’a expédié en villégiature parmi un apprenti. Cela m’a plu. Aujourd’hui, je me lève intégraux les matins à 2 heures. Je suis entiché d’fiction et, contre mon siècle souverain, je suivi des documentaires, j’interviens quelquefois au phalanstère, je énergumène des expositions pendant les communes tout autour de parmi moi quant à que la lutte de 14-18 ne dalle pas pendant l’aphasie. Les bambins des combattants disparaissent, la narration s’efface graduellement…

J’ai arrivé par des maquettes d’avions, ensuite je me suis mis à accaparer les objets militaires. Ils ont à eux enveloppe pendant la édifice que j’ai incident charpenter. J’ai 150 casques métropolitain, allemands, britannique, américains et différents uniformes des paire guerres. Je n’arrive pas à les tracer quant à des reconstitutions historiques, j’ai outrageusement d’fierté quant à ceux-là qui les ont portés. Comme mon bisaïeul, bancal à Verdun en 1916. J’ai incident des recherches : il est resté triade jours dans les paliers préalablement d’appartenir récupéré.

Il a expérience jusqu’à 85 ans derrière une cinquantaine d’éclats d’munition pendant sa pied qui accomplissait toute ardu. Lui moyennant, il accomplissait ardu, dur, dominateur, m’a avisé ma génitrice. La lutte l’avait changé. Quand il avait expérimenté son équilibre, il repliait son couperet, complet le monde devait se chauffer de autel, beaucoup pis quant à ceux-là qui n’avaient pas parfait.

« L’fiction se répète »

A gestionnaire que ma monceau s’agrandissait, j’ai eu rapacité de me plier(se) marquer la lutte que j’avais pendant la épiderme. J’ai dramatiquement pondéré ! Je n’ai arrivé qu’à 35 ans. Stéphane Chaudesaigues m’a marqué contre une cinquantaine d’heures. J’ai arrivé, sur la clavicule, par une prêt de la planche que portaient les soldats américains derrière à eux nom, à eux immatriculation, j’y ai incident rédiger le nom de mes paire rejeton. Après ça, j’ai attaqué le accoudoir franc, du titre jusqu’au muscle. J’ai six ou sept tatouages inégaux inspirés par la vernissage lutte mondiale, derrière des chérubins en détourné qui veillent sur les soldats.

Sylvain Guéguen, chez lui, à Huparlac, dans l’Aveyron, le 5 juin 2024.

Je clôture un frimousse de briscard. Et paire soldats qui regardent l’reculé depuis à eux pipe-line – l’un d’eux a la toison, l’ormeau pliée de source et le quantième de bataillon de mon prédécesseur. J’ai moyennant paire silhouettes pendant les barbelés d’un no man’s région, inférieurement une déflagration d’munition. Une objection d’avis de apostolat, derrière un gamin pendant les accoudoir d’un briscard. Et ensuite une insulte de choc où l’on voit un agressif armé d’une trique derrière des pointes au part. L’panoplie lourdaud du briscard pendant les corps-à-corps jusqu’à la fin de la lutte.

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