Tour de France femmes : l’oeuvre 2024 a attesté les adoucissement du cyclisme femelle

Succès folklorique, adoucissement au stade compétiteur, apparition de authentiques talents, pérennité louable d’un thriller à la Hitchcock, néanmoins rentrée financiers plus limités, la témoin oeuvre du Tour de France, depuis sa transmigration en 2022, a attesté la exacerbation du cyclisme femelle.

“En partant de Rotterdam, le succès populaire est garanti”, avait imaginé Marion Rousse premièrement de la méandre lundi 12 août aux Pays-Bas. La responsable de l’infortune avait vu idoine. La étrenne moment a totalisé 150 000 banal aux bords des levée en auspice de La Haye.

Une conclusion oncques démentie intégrité au grand de la semaine. “Cette foule, c’est juste incroyable. Cela donne des frissons”, a ouvert la Batave expérimentée Marianne Vos (37 ans), qui a intégral l’infortune pour le tricot aigrelet de meilleure sprinteuse.

Si les audiences TV se sont tassées sur France Télévisions (vacillant compris 1,5 et 2 millions de téléspectateurs en semaine), elles-mêmes ont par afin grimpé en culminant en Belgique (+20% d’audimètre relativement à 2023) et aux Pays-Bas (+40%), prouvant un rude marqué verso le Tour femelle indemne de France.

Un rude compétiteur en amplification

Mais c’est manteau sur le rentrée compétiteur que les satisfactions sont les davantage notables. Le stade constant progresse et la consistance pareillement, pour de jeunes coureuses qui se sont révélées au gentilhomme proverbial, à l’emblème de la Bretonne Cédrine Kerbaol (23 ans), gagnante de l’moment de Morteau vendredi.

Et le pérennité de la dernière moment n’a récit que accélérer l’rude compétiteur pour la domination dénouement de la Polonaise Katarzyna Niewiadoma verso quatre secondes simplement vis-à-vis la détentrice du armoiries, la Batave Demi Vollering, laquelle la renversement alors de la 5e moment a pesé plein là-dedans le queue.

L’Union restaurant internationale riche instauré depuis 2020 un crédit extremum (32 000 euros par an) verso les coureuses d’équipes du World Tour, celle-là peuvent désormais soupe de à eux sentiment et se oindre entièrement au période.

La comparaison rebut cependant abyssale relativement à ce que gagnent les monde. À armoiries d’idée, Katarzyna Niewiadoma a touché 56 480 euros de gains bien dix jour moins que Tadej Pogacar, arrivant de la Grande garé masculine en juillet.

“Notre génération a beaucoup de chance”

“Notre génération, on a beaucoup de chance”, se réjouit Cédrine Kerbaol. “Ça me rend un peu triste pour les anciennes”, poursuit-elle.

Les hasard d’enrôlement ont aussi civilisé. Désormais, la majorité des équipes ont un bus aisé, puis les monde. “Il y a dix ans, Marion Rousse (alors coureuse) devait se changer dans le coffre de la voiture”, a appelé Christian Prudhomme, dirigeant du cyclisme parmi ASO, l’programmateur du Tour de France.

Les choses ont affairé changé. Désormais, disparates équipes effectuent des tests en ventilateur, utilisent la cryothérapie verso le perception et s’entourent de diététiciens.

“L’économie du cyclisme féminin reste fragile”

Le davantage bel idée de cette exacerbation est sinon transe l’staff française FDJ-Suez créée en 2006 au-dessous l’poussée de Stephen Delcourt. Elle récit aujourd’hui simplifié de jauge là-dedans le brigade femelle.

“De 20 salariés en 2020, nous sommes aujourd’hui 46 avec l’ambition d’être 50 l’an prochain”, explique le réglementer constant de l’staff. Sur les cinq dernières années, le salaire (non édité) de FDJ-Suez a été multiplié par quatre ce qui lui permettra d’arroser là-dedans ses rangs la époque prochaine la Française Juliette Labous et éventuellement la chiffre un mondiale Demi Vollering verso contribuer la prometteuse Evita Muzic.

“L’économie du cyclisme féminin reste fragile”, relativise cependant Marion Rousse. Illustration pour l’staff française Auber 93 à la sophistiqué d’un bailleur qualifié du lui livrer 500 000 euros verso ne pas fuir.

“La visibilité du Tour de France est cruciale pour le développement du cyclisme chez les femmes et je suis fière de participer à ces progrès. Les filles le méritent”, conclut la responsable de la Grande garé féminine.

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