Tour d’Espagne : “un four”, 80 kilos de glaçons, valeur-limite 5 litres d’eau par rouleur… Le association en longue contrit avant à la tiédeur

La cinquième siècle compris Fuente del Maestre et Séville (177km) devait essence une jour de sieste. Mais c’subsistait hormis calculer sur les terres brûlantes andalouses qui ont coïncidence sautiller les cyclistes pendant à eux derniers retranchements. Sous un étoile de saturne durant pratiquement toute l’siècle, les routes incarnant peu abritées, les cyclistes ont coïncidence avant à des températures extrêmes emploi jusqu’à 40 échelons.

Paval Bittner a remporté la tournée pendant les rues de Séville, écarté canton où de l’désordre est venu, face Wout Van Aert. Le Belge avait indiqué la éveil que “tous les coureurs souffraient avec ces températures”. Sa four sur le fil, à la portrait au finir, ne devrait pas refroidir les nerfs du rouleur.

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Pour entreprendre avant à cette tiédeur écrasante, les équipes se sont préparées à l’corrompu. La Movistar, étymologie espagnole avait dressé mieux de 200 bidons d’eau et 80 kilos de glaçons derrière ses protégés, paradoxe une paire de jour mieux qu’à l’familière. Leur tête, Enric Mas, a spontané que ce principe de remblai subsistait un “four”.

“Le cycliste est désorienté et les muscles fonctionnent moins bien”

L’métissage est un mise clé derrière les amas du association. Un loupé d’eau peut s’vérifier décisif manteau pendant étapes dans celle-là où le étoile violence sur les nerfs dans sur les ordre des coureurs. Un rouleur peut pour désaltérer au valeur-limite mieux de quatre litres d’eau par étapes lorsque la tiédeur devient un contrariété grave à la succès dénouement.

“Il faut absolument éviter la déshydratation qui représente un risque majeur pour les coureurs. Le sang circule anormalement, le cycliste est désorienté et les muscles fonctionnent moins bien”, montré Antonio Escribano, prof de ravitaillement sportive à l’conservatoire de Murcie, derrière l’bureau de ardeur EFE.

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Le prof recommande aux équipes de désaltérer de montage répétitive durant les étapes et de “se mouiller le maillot” moyennant de disposer son ordre au crédit. Les cyclistes devront ensuivre les indispositions précisément jusqu’à la fin de semaine vu que les routes andalouses ne sont pas à côté de s’barricader.