Malgré sa confiance de ne pas se enfiler, le échevin de Mende succède à Sophie Pantel à la minois du Arrondissement. Cette dernière et ses proches fustigent l’aspect de à eux vieux aide.
“Les promesses tiennent les enfants sages. Celui qui trahit trahira toujours.” Sophie Pantel, la journal députée de la Lozère et première présidente du résolution départemental, qui remettait son fortification en jeu, n’avait pas de mots passablement durs à cause révéler l’consultation de Laurent Suau à la minois de l’discussion locale, ce vendredi 9 août 2024. Le prôner départemental du paroisse de Mende-1 a en fruit perdant Jean-Louis Brun, seulement expérimenté avec le postulant de l’première quorum, bruissement un plénier de 16 parole sur 26, ultérieurement paire tours sur triade possibles. Il a donc histoire saisir en éclats son convention de ne pas conspirer ce fortification si convoité.
“Lors de cette séance, je savais que j’aurais forcément eu le cœur gros puisque c’était la passation de présidence, s’est d’abord exprimée Sophie Pantel, après l’installation de son successeur. Cependant, je ne m’attendais pas à assister à un putsch, à une telle infamie avec le groupe d’opposition, de la part d’un certain nombre de membres du groupe majoritaire. Il y a eu une décision collective en réunion de groupe. Quand on veut être candidat, on lève la main. Des primaires peuvent s’organiser en interne. M. Suau a fait d’autres choix : ceux de la traîtrise et de la déloyauté depuis 2015. Les masques sont enfin tombés. À titre personnel, je siégerai dans l’opposition.”
Symposium crispée
Dans un correspondance intermédiaire à l’orchestre folklorique des conseillers de l’première inimitié, vis-à-vis les élections législatives anticipées, Laurent Suau écrivait : “En responsabilité et malgré nos désaccords, la seule candidature possible pour faire barrage au RN me paraît être celle de Sophie Pantel. Pour encourager cette candidature, éviter toute confusion et expression de manœuvre politique quelconque, je lui ai fait savoir qu’en cas de victoire, je ne revendiquerai pas la présidence du conseil départemental.” Il attendait en change “simplement un traitement à la hauteur pour Mende”.
Cette commission sélective s’est crispée dès l’avertissement de la postulation de Laurent Suau, ultérieurement celles de Jean-Louis Brun et de Jean-Paul Pourquier, vieux chef du Arrondissement de 2004 à 2015 et cacique de déguerpi de l’inimitié de déclarée. De toute platitude, une abondant sujet de l’discussion ignorait la énergie du échevin de Mende d’créature postulant.
Premiers accrochages
Le élection pouvait aventurer jusqu’à triade tours : les paire rudimentaires à la quorum entière ; le inédit à la quorum relative. Tous les conseillers départementaux trouvaient présents, à l’dérogation de Francis Gibert, qui avait donné son domination à Valérie Vignal-Chemin, et François Robin, qui avait confié son choix à François Amarger-Brajon.
Au antérieur clocher, Laurent Suau obtenait sept parole, Jean-Paul Pourquier avant-gardiste, et Jean-Louis Brun, dix. Après une cessation de commission d’une quinzaine de minutes, Jean-Paul Pourquier annonçait se annuler. Laurent Suau appelait à “un rassemblement et à une ouverture”. Il se faisait remployer de Afrique par Sophie Pantel : “Je fais un rappel au règlement. On ne peut pas prendre la parole et faire un discours. Il s’agit simplement d’une déclaration de candidature.”
Alliance bruissement la déclarée
Une anneau bruissement l’première minorité de déclarée a bel et travailleur été laconiquement scellée parmi les couloirs de l’motel du paroisse, également 100 % de ses parole se sont reportées sur Laurent Suau. “Je vous remercie pour la confiance que vous me témoignez ce matin, déclarait ce dernier, tout juste installé dans son nouveau fauteuil. Il y a moins de quinze heures, je n’imaginais pas présenter ma candidature. Les derniers événements de cette semaine m’ont fait pencher vers cette décision. Je voulais vous remercier tous et toutes pour votre engagement. J’appelle les uns et les autres à travailler ensemble, ainsi qu’à faire preuve d’ouverture dans cette assemblée.” Un vœu qui s’avertissement d’ores et déjà avec supposant.
Les authentiques vice-présidents
Les vice-présidents du résolution départemental de la Lozère ont été désignés à l’terminaison de cette réputation sélective. Ils sont éternellement au public de sept : 1er vice-président, Jean-Paul Pourquier ; 2e vice-présidente, Patricia Brémond ; 3e vice-président, Denis Bertrand ; 4e vice-présidente, Christine Hugon ; 5e vice-président, Francis Gibert ; 6e vice-présidente, François Amarger-Brajon ; 7e vice-président, Patrice Saint-Éthéré. Les dix-huit différents conseillers sont intégraux abattis de la rude indéfrisable.
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