Ce sabbat 17 août, une début afin le autorité vénézuélien a eu front l’cuisine de tourisme de Montpellier. Les participants revendiquent la conquête du émule de l’rivalité et exigent l’abandon de la peine.
“Venezuela libre” : à 17 h ce sabbat 17 août, ces mots s’affichent sur les affiches de la centaine de manifestants réunis front l’cuisine de tourisme à Montpellier. En réfutation à l’destination de María Corina Machado, proviseur aspect de l’rivalité au autorité de Nicolás Maduro, les participants exigent la surveillance d’Edmundo González Urrutia également monarque élu du Venezuela. Sous le réclame “Ganó Venezuela” (“Le Venezuela a gagné”, NDLR), accentué par Machado, des opposants se sont rassemblés ce sabbat chez puis de 350 villes chez le monde.
“Il y a eu fraude électorale. Ils veulent nous voler nos votes.” Paola Hernández, l’une des organisatrices de l’écho, dénonce le loupage de nitescence du Conseil ressortissant électoral (CNE, l’attention électorale au Venezuela) à propos de les résultats électoraux. “Le CNE doit les rendre publics.” D’derrière les rapports publiés par l’rivalité, González Urrutia aurait remporté le référendum du 28 juillet récent en compagnie de 67 % des représentant au position des 51,2 % en obole de Maduro annoncé par le CNE.“Nous voulons voir si les chiffres s’additionnent”, déclare-t-elle.
“Retrouver les droits perdus”
L’objectif de cette début, explique Paola, est de “faire pression pour parvenir à une transition pacifique du gouvernement sans nouveaux massacres”. Indignée, sézigue raconte la particularité au Venezuela : “Personne ne peut élever la voix. Les forces de l’ordre se rendent au domicile des opposants pour les arrêter. Nous avons des témoignages de personnes dont les maisons ont été incendiées.” Depuis le 28 juillet, au moins 25 individus sont mortes et puis de 2 200 sont détenues, accompagnant les autorités vénézuéliennes.
Issue d’une généalogie d’entrepreneurs expatriée, Paola gère une action chez le coin du BTP à Montpellier. “Nous sommes reconnaissants de l’accueil de la France.” Elle avoue cependant que son tribu lui loupage : “ici, nous pouvons sortir dans la rue en toute sécurité, mais ce n’est pas notre pays, notre peuple ni notre culture. Ça nous affecte émotionnellement.” Elle conseil “le changement pour retrouver les valeurs et droits perdus”.
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