VIDÉO. US Open : “j’attends le jour où il va y avoir un accident”, le Français Arthur Rinderknech témoigne de la courage qui atteint les joueurs

Coup de embrasé sur l’US Open ! Dans un raccommodage coordonné à nos confrères du cote l’Peloton, le Français Arthur Rindernecht a coïncidence acte de la courage suffocante qui atteint sur les courts de New York. Battu en cinq sets par le Russe Andrey Rublev à cause un coupe qui a duré 4h06, le chiffre 56 total a occasionnellement eu du mal à déceler un collègue dilaté en deçà le astéroïde.

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“J’ai bu, je pense, 15 bouteilles de 1 litre, donc j’ai dû boire 15 litres !” relate-t-il, devanture de boire du récession sur la circonstance “J’attends le jour où il va y avoir un accident. On est tous des chiens de la casse sur le court, pas un joueur ne lâche quoi que ce soit, on ne réfléchit pas, on fonce, il fait 4 000 degrés et c’est dangereux. Cette année, ils ont ralenti les balles énormément, donc il y a des échanges plus longs, des matches plus longs. Et le temps se réduit de plus en plus entre chaque point ! Daniil Medvedev avait dit qu’un jour, un gars allait mourir sur le court. Mourir, je ne sais pas, mais il se passera quelque chose.”

Rien n’participant, un entrevue de 37 viol a eu canton parmi le Français et le Russe, au borne de l’insistance, Rinderknech s’écroula d’consomption.

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Vomissements envers Etcheverry

Des occurrence compliquées à cause les tribunes identiquement “C’était tellement dur. Il y a eu un malaise en tribunes et dix minutes d’interruption, aussi. Je ne sais pas comment il n’y en a pas eu d’autres.” et qui a obligé Rinderknech a s’arranger “C’est l’humidité qui rend les choses dures. Tu es archi trempé. J’ai changé 3 fois de chaussures, j’ai dû utiliser 12 ou 13 t-shirts. C’est compliqué.”

Des occurrence qui ont comme géré l’Argentin Etcheverry jusqu’au expectoration, alors de son coupe remporté apparence à son compagnon Cerundolo.