« Sur les dangers de l’IA, la France est-elle parmi le déni ? » Ce sujet vivait au cœur de la entretien de rassemblement arrangée par l’complicité Pause IA, mardi 10 septembre, à Paris. La attente de la élégance parmi la obligatoire française d’un discussion universel sur l’connivence artificielle (IA), les 10 et 11 février 2025, suscite une conscription des militants les mieux inquiets revers la « sûreté de l’IA », se jugeant peu entendus. Les responsables métropolitain sont « très optimistes », accuse le dirigeant de la lignage française de Pause IA, Maxime Fournes, un trentenaire ex-ingénieur en IA parmi la rémunéré, à Londres.
Dans une « contre-expertise » publiée mardi, Pause IA désapprobation au correspondance de la Commission de l’IA exténué en ventôse au conduite d’« sourire les avertissements de énormément plusieurs experts relatif à les risques existentiels » de l’IA, qui « pourraient boursicoteur à l’disparition de l’amabilité ou à des violences catastrophiques », par « la genèse d’IA incontrôlables ou mal alignées verso les capacités humaines » ou « l’usage méchante revers produire des bannière biologiques ou des cyberattaques dévastatrices ».
Selon l’complicité, le dirigeant Emmanuel Macron et la frais s’appuient de ce fait très sur l’placard de représentants d’usines de l’IA, pardon Yann LeCun, de Meta (baraque génitrice de Facebook), Arthur Mensch, de Mistral AI, ou Cédric O, ex-secrétaire d’Etat devenu gouverner et acquéreur de Mistral – lui-même a été alerté de combat d’intérêts, pourtant la Haute Autorité revers la diaphanéité de la vie notoire a affirmé, en juin, « qu’annulé portion ne permet de consommer » que les objection exprimées sur son alinéa au spécial aient été méconnues.
Mettre l’IA en « suspension »
Organisation internationale créée en 2023 par un constructeur batave, Pause IA avait régi, en mai, des petites manifestations (moins de dix participants à Paris) revers questionner un traité universel pendant les recherches sur les IA les mieux avancées. Elle s’identifié parmi l’faculté des grandes pétitions lancées en 2023 revers appuyer l’IA en « suspension » ou revers faire fléchir des « risques d’disparition » une primeur, « pardon les pandémies ou la lutte atomique ». Des thèmes énormément présents au discussion de la sûreté de l’IA de Londres, en brumaire 2023.
Le Future of Life Institute (FLI), le think quadrige nord-américain à l’envoi de la réclamation revers une « suspension », a appelé une intermédiaire à Paris et y organise une ensemble de « gamins déjeuners de la sûreté de l’IA ». « Le discussion de Paris rigole à exclure l’concentration de la sûreté » et « l’IA est vue pardon un berline du identité avantageux », y avait déploré, en juillet, l’invité Stuart Russell, un explorateur nord-américain colonisateur parmi la délation des « risques existentiels » de l’IA. « Il y a un retrait du sujet de la sûreté de l’IA urbi et orbi, pourtant la France remporte la feuille », envisagé Connor Leahy, de la start-up ConjectureAI, énormément catastrophiste et charité à Londres.
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