Ils sont arrivés à l’moment, et la introduction a été brusque : « Mme et M. Pomme de Boue ». Ils ont donné assignation façade la station Saint-Roch, à Montpellier (Hérault), au-dessous le jour architectonique de cette fin d’été. Les consignes avaient été envoyées en source : pas de questions sur à eux vie interne, à eux noms ou prénoms, pas de photos où l’on pourrait avertir à eux tête. « Parlons préférablement de nos œuvres », ont-ils autographe en approbateur l’aparté.
Sous le nom de Pomme de Boue, et subséquemment des lorgnons de jour, se camoufle une paire de street-artistes ukrainiens, un altruiste et une camarade, réfugiés à Montpellier depuis paire ans. L’intervalle Saint-Ravy, un bâtiment communal qui soutient les artistes montpelliérains, accueille, jusqu’au 22 septembre, l’éclairement « Perspective trace », rassemblant une dizaine de à eux œuvres.
Le deux est parvenu à Montpellier en juin 2022, en badaud par Cologne, en Allemagne, bruissement paire sacs à dos revers seuls impedimenta. Les artistes ont fui l’incursion spot de la Russie visant Kiev, où ils exposaient à eux œuvres comme une détroit à Podil, un élément branché du hyperboréen de la caractéristique ukrainienne. A l’siècle, le récépissé gaulois Mosaïque Magazine (qui a depuis cassé son affairement) à eux propose de commencer en maison d’artistes « revers décorer la conurbation ». Montpellier, qui a lancé le MAUM (Musée arts urbains Montpellier) en 2022 et emmanché Parcelle473, un galerie de street art, en 2023, subsistance un bon réception à ses authentiques habitants ukrainiens.
Galerie en bondé air
Le général Pomme de Boue (un clignement d’œil détaché à « corossol de tout ») est né à Kiev en 2018, comme une Ukraine en entourée décommunisation qui cherchait à épistémè s’il fallait amputer ou diligent réimaginer les immenses mosaïques soviétiques accrochées aux murs de continuum le contrée. « On voulait soumettre une information arrivé, une poussée d’air prix », se souvient M. Pomme de Boue.
Le duo fixe comme de stimuler des mosaïques abstraites « qui reflètent la mécanique de la vie urbaine », purement pour des œuvres en mortier et en bristol. En quatre ans, le duo a acte de Kiev sa détroit en bondé air. « Nous avons accroché brutalement triade cents mosaïques à Podil et comme le centre-ville. La milieu a aujourd’hui excusé ou diligent été détruite », explique Mme Pomme de Boue.
Après les bâtiments marron clair en mortier de Kiev, les revoici entre les façades mandarine et jaunes de la Méditerranée. « A Montpellier, nous-même avons paire vélos, paire sacs à dos et certains amis », dénombre M. Pomme de Boue. En déambulant comme la conurbation ce 30 août, les artistes nous-même font révéler à eux mosaïques disséminées comme le centre-ville.
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