À Saint-Jean-de-Védas, la quorum municipale vole en faste exclusivement le prévôt François Rio ne démissionne pas

Ce mardi 10 septembre, le antécédent élu a dû boucher la symposium du conférence communal… individu qu’miss ne commence.

Le mardi 10 septembre, l’démarré du conférence communal de Saint-Jean-de-Védas a vu la quorum imploser en une paire de coeurs d’antagonisme, le extraction concluant (Jean-Paul Piot, subsidiaire aux monnaie) et 3 élus provenir du gîte, sinon 14 élus au intégral. L’données pareillement d’adopter le extraction en juillet du DGS Frédéric Laleu.

Pour Valérie Pena, adjointe aux finance scolaires : “J’ai démissionné le 13 mars dernier mais reste au conseil dans l’opposition […]. Au long de mes quatre ans de mandat dont je suis fière, j’ai été mise en difficulté par certaines décisions sans concertation, par manque d’empathie et de considération.”

La commencement adjointe Véronique Fabry gibus la ouverture miss comme : “Nous créons un groupe d’opposition indépendant, ‘Ensemble pour l’avenir’, avec sept autres élus : Mmes Bruel, Maurin, Bianco-Chaine, Passerat de la Chapelle et MM. Plautin, Quintin et Blanchard.” Les raisons de la rébellion ? “Le manque de concertation, de respect des décisions prises, le mode de fonctionnement de la majorité et du maire.”

Pour Ludovic Trepreau, à la Jeunesse : “Avec Patrick Hivin et Jean-Luc Walczak, nous créons le groupe d’opposition ‘Unis pour les Védasiens’, face aux décisions prises sans concertation, des comportements déplorables et d’une manière de gouverner à l’inverse des fondements démocratiques.”

De à elles côté, Géraldine de la Fregeyre et Camille Roland déclaraient provenir comme du gîte majoritaire.

Un diplomatie à abdication

Dans l’antagonisme, Henri Fontvieille a fustigé ces prises de appréciation, “au vu des enjeux de la commune”. Luc Robin appela au pourparler. Et Emmanuelle Mysona, poids par Marie-Laure Oms, salua “les positions des élus de l’ancienne majorité. Le maire porte l’entière responsabilité de la situation. Il doit en tirer les conséquences.”

Vincent Boisseau concluait en demandant au prévôt s’il allait abdiquer.

“Je ne suis pas surpris, déclarait en réponse François Rio. Un premier mandat est toujours difficile. Mais la ville a besoin de stabilité, souligne l’élu. Il est inconcevable de nuire à la commune et à l’intérêt général.”

Réaffirmant son irritation “de transparence, de dialogue et de concertation”, le prévôt concluait : “Nous devons nous organiser pour agir avec détermination et courage afin de construire un avenir prospère.”

Vincent Boisseau réitérait sa peine sur une abdication. “J’ai répondu”, rétorquait François Rio.

De multiple élus quittant lorsque la carrée, le prévôt clôturait la symposium… individu qu’miss ne commence réellement.

Hors conférence, François Rio confiait : “Je ne suis pas inquiet. Ce sont eux qui le sont. Mais de toute façon, je ne démissionnerai pas.”

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