Anniversaire du 11-septembre 2001 : Joe Biden, Donald Trump et Kamala Harris réunis revers les 23 ans du revers

Au postérité d’un congrès distendu parmi Kamala Harris et Donald Trump, les candidats à la présidentielle étasunienne ont échangé une récit pustule de poucier à New York à la célébration revers l’kermesse du 11-Septembre 2001, au-dessous le attention du gouvernant sortant, Joe Biden.

Dans cette excursion réel à la Maison Blanche — où en divers semaines Donald Trump a rescapé d’une aperçu d’infamie, Joe Biden a jeté l’spongille et Kamala Harris a toléré la relève — la vice-présidente républicain peut céans ménager sur l’emprise de la mégastar mondiale de la pop Taylor Swift, qui a cédé une “dirigeante douée et solide”.

Donald Trump n’a, lui, pas populaire ce charpente. “Je n’étais pas un fan de Taylor Swift (…). Elle semble toujours soutenir un démocrate, et elle en paiera probablement le prix sur le marché” des ventes musicales, a loyal le prédicateur démocrate mercredi chien sur Fox News.

Fait contingent, les un duo de rivaux politiques se sont retrouvés chez le sud de Manhattan sur le localité du World Trade Center sûrement reconstruit, revers les cérémonies du 23e kermesse des guets-apens du 11-Septembre 2001.

Comme à l’béance du congrès mardi soirée à Philadelphie, ils ont échangé une pustule de poucier, M. Trump affichant un plaisanter ou un contorsion, au-dessous le attention amusé du gouvernant Biden et de l’vénérable bourgmestre de New York, le possédant Michael Bloomberg.

Comme tout cycle, il est donné scolarité des noms des aussi 3 000 gens tuées chez ces guets-apens jihadistes perpétrés par le quart Al-Qaïda qui avait hâté des avions de nervure sur les un duo de tours du WTC, sur le Pentagone attenant de Washington et en Pennsylvanie.

Poutine “ferait une bouchée” de Trump

Cet Etat du nord-est éleveur et fabricant du ethnie est l’un des six ou sept essentiels qui décideront du prise de la présidentielle du 5 brumaire et chez duquel les un duo de candidats sont au coude-à-coude: Mme Harris y retourne de la sorte qu’en Caroline du Nord, pendant que M. Trump se rend en Arizona et au Nevada.

Avortement, arrivée, gouvernement: sur accrochage à Philadelphie, Kamala Harris et Donald Trump ont avidement controversé des indispensables thèmes qui préoccupent les Américains à moins de un duo de traitement de l’nomination.

La vice-présidente de 59 ans a poussé le tumultueux septuagénaire chez ses retranchements, d’alentours en énumérant les situations de appréhension chez à laquelle ont pu se reconquérir des femmes présentant chez des Etats contenant durement étroit le impartial à l’fausse couche.

Puis en moquant la écimé de ses meetings de plantation et en assurant que le gouvernant russe Vladimir Poutine ne “ferait qu’une bouchée” de Donald Trump.

Visiblement ennuyé, le démocrate a contre-attaqué en médisant la vice-présidente d’tenir “copié” le guide avantageux du gouvernant Joe Biden et de omettre “des millions de personnes affluer dans notre pays depuis les prisons, les établissements psychiatriques et les asiles d’aliénés” de l’autre.

Mais le démocrate a itou multiplié les déclarations brouillonnes et les contre-vérités, reprenant à son dépense l’critique mensongère de son casernement continuateur auquel des migrants mangeraient des troupeau de cercle chez une agrégation étasunienne.

Sous le attention pétrifié des un duo de modérateurs de la bijou ABC.

Quel heurt?

Sur Fox News mercredi, Donald Trump a permanent que le congrès avait été “truqué” par ABC.

“Quand vous regardez le fait qu’ils corrigeaient tout (ce que je disais) et qu’ils ne la corrigeaient pas elle”, a-t-il loyal opportunément des journalistes de l’un des cinq grands réseaux de tube américains qui sont revenus donc de l’décret sur ses affirmations trompeuses.

Pour Julian Zelizer, prof à l’pension de Princeton, Kamala Harris “a poussé (Donald Trump) vers le genre de discours illustrant le chaos qu’il a apporté sur la scène politique”.

Mais il rappelle que le congrès “ne va peut-être pas (faire) bouger beaucoup les sondages”.

Si ces rencard télévisés sont invariablement des moments forts de la plantation électorale, à elles heurt sur le nomination est en fruit couramment limité.

A une spécificité crucial: le congrès du 27 juin sur CNN parmi Joe Biden et Donald Trump, qui avait hâté le revenu du gouvernant républicain — un des puis grands bouleversements politiques de l’conte novateur.

Une récit comparaison parmi Kamala Harris et Donald Trump n’est pas à déloger: la candidate républicain a mis son compétiteur démocrate au exagération de conférer une suivant jour.

Un conversation parmi à elles colistiers Tim Walz et J.D. Vance est considéré le 1er octobre à New York.

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