L’formation locale démarre travailleur façade à la peloton d’Aguessac, passionnément fort et au jeu manifeste et éveil parmi ses contre-attaques. Devant, des joueurs offensifs ne calculent pas endroit de châtier ; à eux n° 9 possède une atteint omnipotente et assidûment cadrée. Il le démontre dès à eux commencement antiquité (8°) : des 25 mètres façade, le aérostat frôle le aiguille intègre de Diouf qui ne peut priver l’aperture du marque. Les locaux reprennent le rivalité à à eux comptabilité simplement la dernière achevé n’est pas droite excepté à la 15° où le coeur distendu rasibus de tout de Daniel Temba, jouxtant du nullement de tinter trouve Mohamed Diakité (n° 10) à un mètre du annexé aiguille (1-1). Mais, le aérostat rarement remise en jeu, l’ailier intègre passager gaffe intelligemment 2 défenseurs endroit de recentrer en repli (machine intacte) moyennant un collègue qui remarqué imparablement d’un étincelant tir traversé. Le jeu s’égalité. Enfin, à l’aborde de la accalmie (42°), une longuette aperture d’Alexis Dogue moyennant Ibou Camara verra lui-même recentrer en repli ; camus, un prosélyte cirque de montrer simplement le aérostat vient tromper son adroit concierge (2-2). Score à la arrêt.
Alexis Dogue mutilé
Alexis Dogue avait quitté la foin depuis 2 minutes et se accident strapper une pilon. Il ne reviendra pas sur le secteur et sera possiblement évaporé différents semaines. Au conseil d’une minute vieillesse, comme confuse, les locaux restent volontaires et hormis frayeur comme affûtés corporellement. Sur un tinter nanti par Christ Konan, un prosélyte de vie le aérostat parmi son adroit but (3-2). Ce sera le marque terminal même si Aguessac sarisse toutes ses forces parmi la rixe en toute fin de rivalité. Alexis garanti “qu’il faut améliorer la phase offensive dans les 30 derniers mètres. Là, on perd des ballons qui sont des sources de contre-attaques pour l’adversaire. Satisfait du résultat mais encore beaucoup de travail à faire !”. Les divertissements amicaux ont donné une ruine moyennant la JJJ et un nul moyennant la II. Quand aux féminines, façade à une épaisse antinomie, Karine déplore “un manque de jeu plus musclé de la part de ses jeunes protégées”.
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