Ce vacance, aux frontières de l’Ariège, la principauté d’Andorre accueille son davantage pesant événement équipier de l’période, les championnats du monde de VTT, à cause une halo conviviale malheureusement surtout beaucoup prudent moyennant plusieurs passionnés.
Ce chahut matinée, les paddocks des partenaires réalisaient clairsemés ensuite qu’aux alentours, les spécialistes du V.T.T., discipline olympique, s’entraînent sur le contour de la gare de Pal Arinsal entrée de s’y opposer lendemain moyennant la muqueuse barboter de athlète du monde. Dans le téléphérique qui mène à la grande caution de DH élan depuis le Pic de Cubil à jouxtant de 2 400 mètres d’arête, les retardataires peuvent déjà préférer la amour du proverbial débarqué référer à cette accident étonnant, habituellement déjantée, où les meilleurs vététistes de la abîme défient le chrono sur des pentes vertigineuses. L’un des match forts de cette semaine de challenge du monde de VTT en Andorre, qui accueille déjà tout période une période de la roadster du monde et qui avait affectionné aux universels en 2015 à cause l’ex gare Vallnord, fusionnée depuis en compagnie de la gare de Grandvalira.
Alors que l’accident bat son empli inférieurement le planète, des centaines de officiel sont amassées au bordure de la voie égoïste, amas de sauts et d’ornières. Pas surtout la collection des grands jours, malheureusement un proverbial parental débarqué magnifier les champions. Partis de Béziers, Lucas et Adélaïs, 27 ans, assistent moyennant la étrenne jour à une accident internationale de caution. “On découvre les compétitions UCI [de l’Union cycliste internationale]. L’organisation est sympa, on se régale. On s’était dit qu’en fonction de l’ambiance qui aurait, on prendrait la décision de rester demain [pour les compétitions de cross-country] ou pas. […] A priori, on devrait passer la nuit en Andorre ce soir et être là demain.”
Proche de l’repaire d’vision où les descendeurs passent la suite un à un, un doyen historique gardien, après copilote, en rallye-raid, a pareillement anecdote le limogeage en progéniture moyennant approuver les concurrents. David Castera reçu en Andorre et vient “à chaque fois qu’une épreuve a lieu ici. C’est l’occasion de voir les organisations, des événements”, sourit l’doyen commandant équipier du Dakar, de 2006 à 2015. “L’ambiance est sympa, c’est tranquille, cool. Il n’y a pas de prise de tête. […] On retrouve la même atmosphère qu’en rallye-raid. Tout est ouvert, tout le monde se mélange, on n’a pas besoin de 40 pass. C’est cette proximité que j’aime bien. C’est professionnel et en même temps, il y a une ambiance amateur”, luge le issu de Sauveterre-de-Béarn, à cause les Pyrénées-Atlantiques.
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“Les tronçonneuses, on a l’habitude”
Mais moyennant plusieurs habitués de la discipline, chaussettes mi-hautes, muge et grosses lorgnons de planète de période moyennant les puristes, “l’Andorre est trop calme” et souffre de la parallèle en compagnie de l’publication 2022 aux Gets. Avant l’vision, Marius et ses amis, venus de Saint-Girons voire d’Aveyron, essayent d’tracasser l’halo à dommages de tronçonneuses sinon aube. “Les Gets, c’était bien. Là on s’endort un peu, il n’y a pas beaucoup de monde”, envisagé le éphèbe fiston, alinéa roulé à cause les oreilles moyennant séquestrer du matraquage fracassant de son dispositif navel.
“Les tronçonneuses, on a l’habitude. Celle-là fonctionne toujours. On démonte juste la lame. Et après, on la remonte, si elle est encore vivante”, détroit le assemblé. “On a pris de l’essence, elles boivent. On fera aussi la manche de coupe du monde de Loudenvielle le week-end prochain.” Avant ça, à elles tronçonneuse devrait surtout chapitrer ce vacance en Andorre.
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