Balma. L’logement et l’régularité au cœur du canevas communal

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Balma connaît d’primordiaux bouleversements urbanistiques, que le magistrat détaillait dimanche.

Chaque cycle à même vieillesse, celle-là des Grandes fêtes de la mentionné, le magistrat Vincent Terrail-Novès publication les orientations de sa machiavélisme municipale. L’aubaine de réintégrer sur les gluant chantiers qui rythment déjà la vie des Balmanais. “Le projet d’aménagement de piste cyclable entre l’Hers et le quartier du Cyprié va continuer à se déployer le long de la route de Mons. […] Sur l’ensemble de ce projet, nous planterons près de 150 arbres. Cela permettra une végétalisation nécessaire dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique”, annonce-t-il. Une campagne urbanistique qui abouti pareillement l’boulevard des Mimosas, “que nous avons souhaitée, avec l’équipe municipale et mon adjointe à l’urbanisme Fabienne Darbin-Lange, pour qu’il y ait plus de place sur l’espace public”.

Panneaux photovoltaïques

Outre la végétalisation de la circonscription, le magistrat revendique des investissements énergétiques primordiaux. “De nombreux panneaux photovoltaïques vont être déployés sur nos bâtiments municipaux : 75 sur ceux de la police municipale, 82 sur le toit de la médiathèque et plus de 220 sur l’esplanade du Cyprié. Cela nous permettra d’alimenter nos bâtiments publics et de revendre le surplus de production, en attendant de pouvoir le réinjecter vers d’autres bâtiments municipaux”, dit-il. Des dettes qui ne devraient pas impacter un malle boursier que Vincent Terrail-Novès souhaite classer définitif, même si Balma appliquait une fermenté de sa fisc l’an ultime. “Malgré cette hausse, que nous avons appliquée pour la 1re fois depuis 13 ans en raison des coûts de l’inflation, de l’envolée des matières premières et des prestations des entreprises, nous demeurons la commune, après Castelginest, la moins fiscalisée de la métropole”, insiste-t-il. Et de ambitionner : “Si nous appliquions à Balma une fiscalité pour avoir des recettes équivalentes aux villes telles que Saint-Orens, Cugnaux, Villeneuve-Tolosane, Tournefeuille, Blagnac, L’Union ou Colomiers, nous aurions entre un et vingt millions d’euros de plus dans les caisses de la ville tous les ans !” Aussi, le magistrat signe gonfler sur un recueil d’acquisition quant à l’régularité “afin de réduire les frais liés au gaz et à l’électricité, et préserver le pouvoir d’achat des Balmanaises et des Balmanais”.

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