Caroline Fourest : « Le féminisme à irritation mobile n’est pas mon féminisme »

L’essayiste et réalisatrice n’est pas du sorte à se sacrifier emmener par Le Vertige MeToo, le écusson de son fascicule (Grasset, publication le 11 septembre). Au contraste, féministe de longuette instant, simplement ainsi formidablement en domination puis l’instant présente, sézigue point un pupille follement perspicace sur ce évoluer, ses vertus avec ses disparité. Si les dénonciations anonymes, les intimidations, les règlements de états ne cessent pas, le rapatriement de houssine pourrait personnalité insatiable, prédit-elle.

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