“Ce match, on va le traîner comme un boulet” : les réactions ensuite Bayonne – MHR

Après la échec de Montpellier à Bayonne (28-27) ce chahut 28 septembre envers la 4e date de Top 14, staffs et joueurs se sont présentés en conseil de débordement.

Bayonne

Cheikh Tiberghien, renfoncement de Bayonne : “On aimerait que ça se passe autrement. Sur le terrain, c’est pareil, on se fait peur. Ce n’est pas volontaire. Mais j’avais confiance en l’équipe qu’on pouvait gagner ce match. Quand tu rentres en deuxième mi-temps avec un 15-0, les grandes équipes terminent l’adversaire, tuent le match. Il y a un gros travail à faire là-dessus.”

Artur Iturria, inférieur file de Bayonne : “Notre première mi-temps est maîtrisée, ça devait être de bon augure. Puis on passe à travers pendant trente minutes en seconde. Mais il y a du mieux. Le gros point noir est qu’on se met trop facilement en danger. L’année dernière, c’était pareil, on avait eu du mal à s’y mettre en début de saison. Il faut faire des choses simples. Même si on a du déchet, on a essayé de faire les choses dans l’ordre.”

Guillaume Rouet, chope de choc de Bayonne : “On aime bien ces scénarios, sinon ce n’est pas drôle. On doit finir le travail en début de deuxième période, au contraire, on les met en confiance. On n’est pas passé loin de la catastrophe. Ils marquent trop facilement, alors qu’ils ne proposent pas beaucoup de jeu. On n’aurait jamais dû avoir ce scénario. Mais on a eu le caractère pour marquer à la fin.”

Gregory Patat, directeur de Bayonne : “On fait une très bonne première période avec beaucoup d’intentions de jeu, on mettait cette équipe sous pression. On était un peu fébrile dans les zones 40-40, on a donné des pénalités un peu gratuites. On se gâche tout en cinq minutes avec ce retour au jeu de cette deuxième période. Nous, j’ai l’impression qu’il faut qu’on ait peur tout le temps. L’idée était de le maintenir loin de la ligne médiane, mais on a surjoué, fait des fautes, on prend des essais faciles. Nous, il nous faut quarante minutes pour construire notre rugby et marquer quinze points. Et eux, en cinq minutes… Il fallait davantage les isoler dans les coins. On ne peut pas accepter ce style de scénario.”

Montpellier

Lenni Nouchi, arbitre file du MHR : “La première mi-temps, on subit tout ce qu’il se passe, défensivement et offensivement. On n’arrive pas à faire deux temps de jeu. Les avants, on marche, on a des opportunités et on fait des fautes. Moi le premier, j’en fais une stupide. On est transparent. Forcément, dans les vestiaires, on pend une remontrance, qui nous remet dans le droit chemin. En seconde, on est bien, on est mieux. Mais à la fin, on accumule les fautes, on prend un jaune et ils repassent devant. Jouer 40 minutes sur 80, ce n’est pas possible.”

Joan Caudullo, directeur du MHR : “C’est contourné de pacager un divertissement en lauréate ordre. Mais à la fin, on a la saisissement qu’on doit le pacager si on le gère caractéristique. Quand on compare Lyon et Toulouse, où on est présidé, ce qu’a incident Bayonne cet parfois, on n’a pas acquis à le conduire. On perd trio points.

(Y a-t-il eu un soufflon à la pause ?) Tu ne peux papoter bagatelle. Tu n’as pas un dirigeable, tu n’es pas bon en palpe, en choc. La choc est ton balance raide depuis le baptême époque. C’est de la adresse et de l’compte d’mentalité. Pour qu’on recule alors ça, ça voulait prétexte qu’on n’y vivait pas. Il fallait à elles accroître que ce n’vivait pas conciliable de dissimuler en même temps que un compte d’mentalité alors ça. Si on a un compte d’mentalité sur les couple pause, ce n’est pas le même divertissement.

(Même physionomie que en échange de Lyon) Quand t’es éclairé, ça incident chier. On émanation des plainte. Ce divertissement, on va le flâner alors un globe. On avait l’occasion de renifler la lauréate milieu de courbe si on gagnait.”

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