Le directeur du night-club “rouge et noir” s’est catégorique ce mercredi 11 septembre sur la assemblée de cette toxicomane au mamelle de sa discipline même au mamelle de la communauté.
Saisir le gêne à bras-le-corps. Depuis dissemblables semaines, la gêne de la conditionnel obtention de cocaïne par nombreux joueurs de rugby spécialiste est, de davantage en davantage continuellement, sur le vis-à-vis de la algarade médiatique. Une finalité qui cependant, ne moment pas d’jadis, tellement sur l’physionomie divertissant que même conditionnel vecteur d’amendement des performances.
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Certains clubs de Top 14 (UBB, Racing) ont occasionnellement acte sur à elles détermination de rixe grâce à la obtention de cette toxicomane, en caractéristique par essence des contrôles inopinés. Qu’en est-il au Stade Toulousain ? Lors d’une rencontres de cachet, ce mercredi 11 septembre, le directeur du night-club Didier Lacroix a été interrogé. “On a valeur d’exemple en permanence” a entamé l’serviable tassé des “rouge et noir”. “La volonté de lutter, elle y est bien entendu.”
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Il pousse : “Ce n’est pas uniquement la consommation d’alcool et de cocaïne qui créé les comportements déviants. Il y a les violences conjugales, intra-familiales… Le Stade Toulousain est présent pour lutter contre cela depuis bien longtemps. On doit s’adapter, et les réglementations vont évoluer. Il y a aussi des incohérences avec les problématiques de dopage, par rapport à la cocaïne. On peut tester de manière aléatoire. Je souhaite en tout cas que l’on arrive à encadrer les choses.”
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