Codorniou défend Jaminet : “Plus j’ai d’éléments, plus je me dis qu’il s’est fait piéger de manière malheureuse, alors que l’homme n’est pas raciste”

C’est un été qui marquera l’événement du rugby métropolitain. Un ludique forclos de la périple du XV de France avec une vidéocassette où il tient des adresse racistes, une paire de étranges accusés de violences aggravé deux jours postérieurement après un froid porté trépassé lorsque d’une plonge en Afrique du Sud… le monde de l’ovalie ne sera sinon embarras davantage le même postérieurement ces deux semaines.

Candidat à la régie de la Société française de rugby lorsque des prochaines élections en octobre, l’vénérable aviateur de Narbonne Didier Codorniou est boni sur ces épisodes lorsque d’une conférence belle à Midi Libre.

“C’est collectivement qu’il faut gérer tous ces problèmes. J’en reviens à notre slogan : “Réenchanter le rugby”. Je veux réenchanter le rugby, je veux faire rêver les gosses”, a-t-il répondu.

Sur Jaminet : “L’homme n’est pas raciste”

Concernant la lauréate bataille, la vidéocassette de Melvyn Jaminet où l’abysse de Toulon tient des adresse racistes, “Codor” enseigné que s’il est élu, il pourrait aérer le session à une assouplissement de transpiré. “Il est avec des copains, il plaisante, il a des amis maghrébins, tout se passe bien avec eux, ils s’amusent là-dessus. Mais voilà, il se trompe d’application et ça part. Et là effectivement, il est raciste”, a-t-il droit.

“Je connais Jaminet, je l’ai rencontré, et j’ai eu peur qu’il fasse une bêtise tellement la peine était rapide, sévère, lourde, poursuit Codorniou. Je suis prêt à revoir sa peine. C’est une situation qui mérite débat avec des responsables de la Fédération, le comité d’éthique. Je crois à l’école de la deuxième chance et ce sujet m’interpelle. Plus j’ai d’éléments, plus je me dis qu’il s’est fait piéger de manière malheureuse, alors que l’homme n’est pas raciste.”

Sur Jegou et Auradou : “Ils ont entaché l’image de la FFR, sali le maillot de l’équipe de France”

Le aspirant à l’préférence du chef de la FFR a pareillement abordé l’bataille Jegou-Auradou, complets une paire de accusés de violences aggravé en Argentine et qui sont rentrés au tribu cette semaine, comme l’crainte d’un relaxe. “Avec sang-froid et avec autorité, il faut sanctionner”, a-t-il accentué.

“Ce sont deux joueurs qui ont entaché l’image de la Fédération française de rugby, qui ont sali le maillot de l’équipe de France, poursuit-il. Ça va être intéressant de voir un peu le résultat in fine de l’enquête. Je dis qu’il faut qu’il y ait des sanctions graduelles en fonction des enquêtes et de tous ces incidents. Il ne faut pas se presser avant de sanctionner.”