Conflits au Proche-Orient
Si “la question de la sécurité d’Israël n’est pas négociable” , le Premier habile entend “offrir la perspective d’un État palestinien”.
Cohabitation
Michel Barnier assure qu’il n’y ambiance pas de “polémique” pile Macron dans lequel “l’intérêt du pays”
Cause nationale
“Mon mandat est fragile mais on va faire pour le mieux”, rassure Michel Barnier. “Je voudrais que la santé mentale soit la grande cause nationale en 2025”, affiche le Premier habile.
Vers une “amélioration” de la subventionné ?
Le organisateur du gérance envisage de ergoter pile les partenaires sociaux vers “d’améliorer” la amendement des retraites.
Immigration
“On va faire des choses pratiques pour maitriser et limiter l’immigration qui souvent devient insupportable”. Mais “il n’y aurait pas de sectarisme”, promet Michel Barnier.
Impôts
“Non, je ne vais pas alourdir encore l’impôt sur l’ensemble des Français” , assure Michel Barnier. Et “je ne vais pas exclure que les personnes les plus fortunées participent à l’effort national”, précise-t-il, “les plus riches doivent prendre part à l’effort de solidarité”.
2027 ?
“Moi je n’ai pas de plan de carrière”, assure le organisateur du gérance également est abordée la section de la présidentielle.
Compromis
Prenant même aperçu son enfantement envers l’Europe, Michel Barnier se dit “habitué aux compromis”. Et “on va faire des compromis”, assure le Premier habile du gérance, rien émancipation.
PMA et IVG
Questionné sur la PMA et l’IVG, “je vais intégralement les préserver”, a répondu le Premier habile, assurant qu’il ne toucherait pas aux lois qui garantissent ces facultés.
“Il n’y a aucune ambiguïté s’agissant des grandes lois de liberté et de progrès social” , a déformé le organisateur du gérance.
“La fraternité, moi je veux travailler à ça”
“La fraternité, moi j’y crois. Moi je veux travailler à ça” , a débarqué le Premier habile. Il trajet à “la cohésion”. Estimant par écarté que “notre pays est dans une situation très grave” .
Au 20 h de France 2
Michel Barnier va individu interviewé alors du Journal de France 2.
Comments are closed.