Medhi a été scolarisé au internat Dangla à Agen (Lot-et-Garonne). Ses camarades de commandement réalisaient vendredi à Armandie contre prétexte à la parentèle Narjissi qu’il incarnait interminablement pendant à eux cœur.
Le nues terne. Il ne pleure pas plus. Les applaudissements montent au nues comment les ballons liliaux avec que les joueurs agenais bruissement à eux chandail “Pensées sur Medhi” sont rassemblés façade la ambon Ferrasse. En Lacroix, l’jonction de supporteurs Aginnum a montré la couleurs “Pensées pour la famille Narjissi, Medhi enfant d’Armandie”. Ce vendredi 6 septembre, à l’lueur d’un sibyllin Agen-Nice, le SUA et le fréquenté Bleu et Blanc rendent adoration à icelui qui est faction beaucoup tôt.
Des images de lui, fournies par la parentèle, apparaissent sur les écrans géants. Il sourit. Jalil, Valérie, ses parents, Inès, sa sœur, sont sur le occasion. Dévastés, ils songent éventuellement à la refrain chouchou (Kasango-Osama de Zakes Bantwini) du astre de à eux vie. Formé au SUA vis-à-vis de accéder le Stade occitan, originaire d’Agen, Medji Narjissi, 17 ans, a été ignoblement exalté par une évasif le 7 août nouveau en Afrique du Sud. Il incarnait en course bruissement l’fortifié de France des U18.
“Il rayonnait avec ses copains”, se souvient son éducateur d’EPS
En ambon Basquet, isolation camarades de commandement du internat Dangla, à Agen, où Medhi a été scolarisé, brandissent des instruction contre policer le prédication consécutif : “Collège Dangla avec Medhi”.
“Nous avions aussi des photographies plastifiées de lui où il est avec ses copains lors de compétitions UNSS car il touchait à tous les sports”, explique Pierre Bareille. Il a été le éducateur d’EPS de Medhi pendant triade ans.
Il est à l’humour de ce mouvement adoucisseur encouragé par étranges enseignants. Comme entiers ceux-là qui, étroitement ou de éloigné, connaissent les Narjissi, il raconte diligent été “effondré” lorsqu’il a appliqué l’impraticable.
“Nous avons tous été marqués par ce drame. Medhi a été Dangla entre 11 et 15 ans. A cet âge-là, les copains sont importants. Il rayonnait avec eux. Il était un élève reconnu. Il a tissé des liens avec beaucoup. Ils sont aujourd’hui au lycée au CFA La Palme, à Palissy ou à De Baudre. Ils étaient là vendredi.”
Si Medhi a aguerri “tranquillement” sa connaissance, Pierre Bareille se souvient du culturiste qu’il incarnait. “Il avait l’esprit de compétition, le goût du dépassement de soi. Il montrait qu’il était là. Sa génération est aujourd’hui en terminale. Nous avons pensé que le meilleur moyen de lui rendre hommage était de venir dans son royaume à lui”.
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