Écoles, parcs, rues… détourné de “débaptêmes” en vue comme les places somme le nom de l’prêtre Pierre

Ici une inscription, là une rue, davantage ailleurs une lycée, un entouré ou une carrée communale : en conséquence les révélations d’agressions sexuelles visant l’prêtre Pierre, de nombreuses villes s’apprêtent à débaptiser les places nommés en vénération à l’simple représentation de la choc vers le mal-logement.

Publié le : Modifié le :

4 mn

Publicité

Des inscriptions, des rues, des écoles et des parcs : en conséquence les accusations publiques de blessures sexuelles visant l’prêtre Pierre, de nombreuses villes envisagent de débaptiser les places nommés en son distinction.

À ravager contreAbus génésiques connus, indemnisations, suites judiciaires… Retour sur l’baroud prêtre Pierre

Il est ailleurs le période, en 2007, où le Figaro titrait, un couple de traitement en conséquence la crevé du clerc : “toute la France veut sa rue Abbé-Pierre”. L’homme d’Confrérie est depuis juillet ajusté par des accusations de blessures sexuelles, puis vendredi une histoire coup de témoignages sur des faits pouvant comme nombreux s’allier à des viols ou à propos de des mineures.

Depuis très ont adéquat à elles distances puis un nom devenu démoniaque.

La construction Abbé Pierre a annoncé dès vendredi qu’sézigue allait casser de nom, et clore irrémissiblement le bâtiment de exposé délimité à Esteville (Seine-Maritime). L’lycée du bourg, qui disposé comme le nom du clerc, devrait contre abstraction débaptisée.

En France 150 voies ou lieux-dits sont nommés Abbé-Pierre ou Henri Grouès (son nom de mise bas), disciple un évaluation de l’AFP à apparier de la ossature nationale des adresses. Mais le presse coïncidence de résumer.

Photo devant l'entrée du centre Emmaüs d'Esteville (Seine-Maritime), prise le 25 juillet 2024.
Photo face à l’début du foyer Emmaüs d’Esteville (Seine-Maritime), capture le 25 juillet 2024. © Lou Benoist, AFP/Archives

Une régisseur “très sage”, car “le nom de l’abbé Pierre est sali et ne peut plus être proposé comme modèle”, vénéré Véronique Fayet, simple présidente du Secours paroissien, dans lequel La Croix mercredi.

L’historien Mathieu da Vinha rappelle dans lequel le même entrefilet qu’on parle, puis ces accusations, de faits punis par la loi à l’période : “en dépit de l’action de l’abbé Pierre en faveur des plus pauvres et des mal-logés, très clairement, ce seul critère juridique conduit à retirer son nom de l’espace public”.

La Ville de Nancy a annoncé lundi le attenant évacuation d’une inscription commémorative posée à l’simple vivacité subtil de l’prêtre Pierre, qui fut légat de Meurthe-et-Moselle de 1945 à 1951. “La parole des victimes, femmes et enfants, doit être prioritairement entendue, respectée et soutenue”, explique la hôtel de ville.

“Crève-coeur”

À Paris, et “de manière exceptionnelle” la cité “souhaite débaptiser le jardin des Grands Moulins” somme le nom de l’prêtre Pierre.

À Lyon, c’est la “fresque des Lyonnais”, un trompe-l’bulbe grossiste des Lyonnais célèbres, qui acte rechigner. La peinture est une convenablement singulière, ce qui complique toute acceptation, cependant un séminaire est étrenné, explique-t-on à la municipalité.

La cité de Besançon va sézigue “très prochainement” pousser son nom de l’caverne nuitamment accessible du entouré des Glacis.

La objet se place comme dans lequel des villes davantage petites.

Un portrait de l'abbé Pierre sur le mur d'un bâtiment occupé par des sans-abri à Paris, en octobre 2007
Un tête de l’prêtre Pierre sur le mur d’un abri malade par des sans-logis à Paris, en octobre 2007 © JOEL SAGET / AFP/Archives

Le prévôt de Grande-Synthe (Nord) va produire au conseiller communal de casser le nom de la exercice Abbé-Pierre, car “la lutte contre les violences faites aux femmes est une priorité pour notre ville”. À Talant (Côte-d’Or) contre le prévôt promis “ouvrir une réflexion” relativement à la épithète de la exercice somme son nom, en centre-ville.

Dans la ceinture de Pau, le bourg Emmaüs Lescar souhaite lui pousser une plastique de six mètres de éminent grossiste un face stylisé d’Henri Grouès, à l’début de la ensemble, et censurer en otage les peintures de l’prêtre Pierre.

“On ne peut pas cautionner les souffrances qu’il a infligées aux femmes et aux enfants”, a revue à la État des Pyrénées Germain Sarhy, le fabricant du emplacement.

À Hédé-Bazouges (Ile-et-Vilaine) c’est l’lycée élémentaire qui va casser de nom. “J’en avais parlé avec la direction diocésaine fin août. Après les dernières révélations il n’y a plus à s’interroger”, explique à l’AFP la cheffe d’entreprise Florina Loisel, qui assure que les parents, présentement mis menacé, accueillent vraiment cette acceptation.

Même forme au prytanée maison Abbé-Pierre de Tinténiac (Ille-et-Vilaine): “ça ne faisait pas l’ombre d’un doute”, fiancé le animateur d’entreprise Raphaël Gouablin.

À Cysoing (Nord), on combine à rebaptiser une carrée communale. “C’est un crève-cœur, mais aujourd’hui on pense surtout aux victimes”, fiancé à l’AFP le prévôt Benjamin Dumortier. “Imaginez, vous louez une salle, et elle se nomme Abbé Pierre alors que vous êtes une victime ? Ca peut être problématique…”

Avec AFP

Comments are closed.