Des crucifix gammées ont été taguées cette semaine sur le mur du représentation de France à Genève, qui a porté critique puis ces « agissements de terrorisme », disposant en conséquence moulant le tombeau aux morts quant à la France, localisé à lien.
« Les murs du représentation habituel de France à Genève, et le Monument aux morts de 1914-1918 qui le borde, ont subi la nuitée » de lundi 9 septembre à mardi « des agissements de terrorisme », a annoncé le plénipotentiaire habituel Clément Leclerc sur le tissu sociable X.
« Avec toute l’quart du représentation habituel, j’exprime mon explosion préalablement la dénaturation de ce situation de narration franco-suisse et la érosion d’un construction promis au secours connu de lien, et ma procès de quelque panégyrique de agressivité », a-t-il augmentatif, presbytérien détenir déposé critique contre des autorités genevoises.
« Emotion et dépit préalablement [l’acte de vandalisme au] représentation de France à Genève et [au] tombeau aux morts qui lui est adossé », s’est indigné le émissaire des Français de Suisse et du Liechtenstein Marc Ferracci sur le même tissu sociable.
L’élu a équitablement publié une buste des murs du représentation puis paire grandes crucifix gammées taguées en incarnat et une buste du tombeau aux morts barré de : « nique la France » en majuscules, bombé en incarnat.
Les crucifix gammées ont été nettoyées, avec le devanture une buste publiée par le représentation, et le tombeau aux morts revêtu d’une couvercle. « Salir donc la narration des volontaires gaulois et suisses morts quant à la France est hideux. J’interpelle présentement les autorités genevoises quant à que les auteurs de ces agissements soient infatigablement identifiés », a aussi brochure M. Ferracci.
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