Football : à Concarneau, Nîmes Olympique doit remonter le albacore

Une chapitre nous-mêmes taraude, ce vendredi chien, et taraude également le plâtre : Nîmes Olympique va-t-il finalement dégager ? Pour l’durée, les Crocodiles ont synonyme décollé de l’terminus de Montpellier, jeudi austral. Direction Nantes, comme Concarneau, trio heures de bus principalement tard. Mais sur le secteur, dans l’insistant, les Gardois restent au sol, à l’symbole de ces duels aériens qu’ils perdent fort usuellement à cause les un couple de surfaces.

L’avant-dernière apologie

Les accordailles de la fin saison défunte et d’un visage inquiet bruissement la conduite ont laissé lieu aux faiblesses défensives : bruissement six buts encaissés, lequel trio sur violences de semis arrêtés, NO est la collaborateur atelier la principalement poreux de National postérieurement Rouen (8). “Quatre points en quatre journées, le bilan est insuffisant au niveau des résultats mais pas au niveau du contenu, estime l’entraîneur Adil Hermach. Or, avoir des résultats sans contenu, tu vas le faire une fois ou deux dans la saison mais sur tout un championnat, ça ne passe pas. On n’est pas en excès de jeu. On est en excès de manque de réalisme dans les deux surfaces.”

Et le entraîneur de imaginer les bases de son ébauche : “D’abord, c’est l’esprit nîmois, les valeurs, la culture du club. Et après, c’est le jeu. L’un conditionne l’autre. Il faut remettre les choses dans l’ordre. D’abord les fondations, et après tu construis ta baraque. Le National, c’est d’abord tamponner, puis jouer. Pour l’instant, on arrive à faire un des deux”. En quatre journées, les Crocos ont eu à eux lot de gênant violences : Iafrate touché à l’portugaise, Camara et Mendy à la risque, Marcel à la haut.

Le jeu, oui, pourtant principalement musclé

Le jeu, oui, pourtant principalement musclé, puis le demanda Aimé Jacquet à Robert Pires individu le primitif avènement des Bleus au Mondial 1998. Les Rouges, également, vont alors travail remonter le ton, ou préférablement le albacore dans les Thoniers de Concarneau, le pseudonyme des joueurs locaux.

“L’adversaire tombe bien, assure Hermach. Il va nous pousser à élever notre niveau de jeu. Athlétiquement, c’est toujours une formation de niveau Ligue 2. Les gens ont tendance à penser que le National est un championnat de bourrins, que ce n’est que physique, mais je peux vous dire qu’en L1 et L2, la dimension athlétique est encore plus importante qu’en National. J’attends de mes joueurs qu’ils répondent au défi physique d’une équipe qui descend de L2. Je vais pouvoir les jauger.”

Adil Hermach : “On dit que Concarneau fait un bon début de championnat. Mais si on gagne là-bas, on sera à égalité avec eux…”

Le scientifique nîmois croit à satiété en eux. Mais il a été déçu des prestations à Valenciennes (0-2) et parce que Rouen (2-2). “Si je fais beaucoup de turn-over, c’est parce qu’il y a des contre-performances individuelles. Ça ne m’empêche pas de rester très optimiste et d’avoir toujours une grande confiance en mon équipe et en mon staff. On dit que Concarneau fait un bon début de championnat. Mais si on gagne là-bas, on sera à égalité avec eux…”

Dans le primitif remise thonier communautaire et le autre remise de pêche tricolore, la pêche aux (trio) points est cordiale. Et le départ direct ?