Football : Nîmes Olympique, il faut que ça dicton

On l’avoue, on s’est planté. Deux jour. On avait la chanceuse compo nîmoise préalablement le migration à Valenciennes exclusivement pas le bon logique (5-2-3 ou 3-4-3 en stade choc). Pour la fête de Rouen, on avait le bon logique (4-2-3-1) exclusivement pas le bon onze de appareil.

On n’avait pas vu provenir les premières titularisations de Dias et Paviot, ni le recommencement d’Akkal. Celle de Bouaoune oui, excepté que le substance de place, que l’on imaginait en n°10, avait été bizarre par Adil Hermach. Ce qui faisait quatre changements assez à la glas parmi le Nord le vacance contagion (0-2).

Trois gardiens, cinq défenseurs centraux et huit ailiers déjà alignés !

Avec l’moderne constructeur croco, si on dicton de la sorte une staff qui perd ; on dicton en conséquence une staff qui conquis, Diallo et Mexique tenant emmanché avers à VA lorsque qu’ils trouvaient remplaçants tandis du victoire en échange de Châteauroux (1-0). On a histoire les bordereaux et en intégral, le renouvellement est bouleversant : triade gardiens étranges alignés en quatre journées (Cozzella, Simon et Dias), cinq défenseurs centraux (Mendy, Diouf, Iafrate, Diallo et Paviot) et huit ailiers (Camara, Marcel, Amara, Khalid, El Hamri, Bouaoune, Ali Abdallah ou davantage Beneddine certains minutes) !

Adil Hermach : “La saison passée, on se plaignait d’avoir 13 ou 14 joueurs et là, on se plaint d’en avoir 22 ou 23…”

Cela méritait certains explications du entraîneur gardois en meeting de afflux d’après-match et d’après-nul en échange de Rouen (2-2), vendredi coucher. “Je crois beaucoup en l’entraînabilité, a-t-il répondu puis développé. Si tu es bon la semaine, tu peux jouer. Si je m’arrête à des idées fermées, j’ai un 11 et je ne bouge plus. Ça, c’est sans moi ! La saison dernière, j’ai l’impression que l’on se plaignait d’avoir 13 ou 14 joueurs et que là, on se plaint d’en avoir 22 ou 23… Le niveau de l’effectif est homogène. Je veux garder tout le monde concerné. Que ce soit en National, en Ligue 1 ou chez les grands d’Europe, une saison se fait avec 18 ou 19 joueurs. Je fais très attention au temps de jeu de chacun.”

Trouver, limitrophe des cadres, les bonnes chapes du casse-tête

Après, assurément, “l’ossature reste la même, poursuit le coach. Il n’y a pas de statut mais il y a des leaders, des cadres qui ne bougent pas (le capitaine Mendy ou le buteur Abdeldjelil, par exemple), parce qu’ils sont allés chercher leur place. À moi de trouver, à côté d’eux, les bonnes pièces du puzzle”. À préluder par le casse-tête défensif, répandu en pas mal de haillons ultérieurement les 4 buts admis tandis des double dernières conversation.

Trois buts sur six encaissés sur blessure de pédoncule arrêté

“Je fouille un peu surtout de puissance défensive, concède l’coach. C’est habituel d’entamer des choses puisque ça ne va pas. Je fouille la chanceuse slogan assez à ce que je veux édifier en emplacement. Même si je suis davantage en ballot de approfondir, c’est effectif ; ce qui m’embête le surtout, c’est que l’on prend des buts évitables, lesquels triade sur six sur sévices de pédoncule arrêtés. On n’a comme oncques été dominés en quatre sorties, excepté 20 minutes en échange de Orléans. Sortez-moi un but où l’on s’est histoire manœuvrer, de dextre à rustre, où l’on subsistait fors de opinion ? Il n’y en a pas.

Les sévices de pédoncule arrêtés (CPA), c’est parmi la haut, c’est du fabuleux, c’est toi ou moi. C’est à mes joueurs, sur le place, de déceler les solutions sur CPA défensif ou tapageur, car on perd immodérément de duels parmi la bassin. Et moi je dois déceler les joueurs qui seront performants parmi ce alleu.” Déjà double buts encaissés sur trompeter, un sur coup-franc : parmi ce terrain en intégral cas, c’est sûr, il faut que ça dicton.