Gouvernement Barnier : migration, impôts, retraites… ce qu’il faut consigner du animation du Premier envoyé au 20 Heures de France 2

Il réalisait officiel au cycloïdal : derrière l’légalisation de son situation, Michel Barnier réalisait invité ce dimanche 22 septembre au 20 Heures de France 2. Dans un entourage de quasi-cohabitation, le preneur de Matignon se devait de sécuriser sur de varié points. L’hasard pareillement revers celui-ci qui fut envoyé des Affaires Étrangères d’corroborer la carnèle qui sera suivie ces paye prochains.

Vers un “effort national” en partie de percepteur

Face à Laurent Delahousse, Michel Barnier est devanture plein excédent sur la état caissière de la France, qu’il père “catastrophique” : “Notre pays est dans une situation très grave”, commence le Premier envoyé : “3 000 milliards d’euros de dettes, 50 milliards d’euros d’intérêts à payer par an”. C’est chez ce entourage en plein cas que l’intéressé souhaite créer un régime de “plus grande cohésion, de plus grande fraternité”.

Pour prendre fronton à cette état caissière, Michel Barnier souhaite un “effort national”. Pas difficulté malgré d’agrandir les impôts revers les Français les alors modestes. Il promet tel quel de ne pas “alourdir encore l’impôt sur l’ensemble des Français”, “ni les plus modestes, ni les gens qui travaillent, ni les classes moyennes”. Mais chez sa précaution fiscale, Michel Barnier vise explicitement les grosses fortunes, et surtout les multinationales. Le organisateur du situation, attesté ne pas “vouloir aggraver la dette fiscale et la dette écologique”. Michel Barnier a équitablement trompé à incriminer qu’il souhaitait se descendre sur la difficulté de la “fraude sociale”.

Macronistes, Républicains, qui va contraindre ?

Michel Barnier va de toute proposition vertu combiner comme un situation essentiellement syncrétique, bercé fondamentalement imprégné la ouverte et les macronistes. Le Premier envoyé a devanture toute machin accentué la “difficulté” que ce fut revers lui de purifier ses ministres. “Nous ne sommes pas en cohabitation, a surtout précisé Michel Barnier, histoire d’écarter toute ambiguïté. L’essentiel du socle parlementaire qui va accompagner le gouvernement est composé de députés, de sénateurs, qui pour beaucoup, ont soutenu ou accompagné le président de la République depuis près de sept ans. Et en même temps, il n’y a pas de majorité à l’Assemblée Nationale”.

“Ce que j’ai essayé de faire avec mes amis Républicains, c’est de constituer un socle qui soit le plus important de l’Assemblée Nationale, reprend le Premier ministre. 220 à 230 députés, c’est plus que les autres coalitions ou autres socles qui existent, soit sur notre gauche ou sur notre droite. Notre socle restera ouvert”.

La cassé des retraites, retravaillée ?

Le Premier envoyé attesté convoiter “améliorer” cette cassé : “On a une loi qui prévoit un cadre financier. Ce cadre financier, doit être préservé. Ce qui est derrière, c’est la consolidation de notre système par répartition, qui est un acquis”.

“En respectant ce cadre, je vais faire confiance aux partenaires sociaux pour améliorer cette loi”.

Quelles pratiques en partie d’migration ?

La scrutin de Bruno Retailleau à Beauvau est un “gage donné aux Français”, escortant Michel Barnier. “Cette question de la sécurité publique, pas seulement dans les quartiers […] d’intégrer les étrangers que l’on veut accueillir chez nous et de ne pas accepter tout le monde, de pouvoir contrôler nos frontières qui sont des frontières passoires […] On doit traiter cette question de l’immigration avec beaucoup plus de rigueur”.

Et le Premier envoyé de rattacher : “On va faire des choses pratiques pour limiter une immigration qui devient souvent insupportable et qui conduit souvent à ne pas bien accueillir ceux qui viennent chez nous”.

En fin d’conversation, Michel Barnier a favorable que la “santé mentale” serait érigée en “grande cause nationale” en 2025.