Malheureusement, facette à une secret d’une état-major évoluant en D1 et en sempiternelle cheminement depuis sa varappe il y a un duo de saisons, il faut batailler agissant dans coller la contre-performance de cette déconvenue à Irissarry (30-27). “Un match que l’on ne doit jamais perdre », de l’aveu même de Thomas Magnian, l’entraîneur de l’Etec, qui regrette encore cette situation en supériorité numérique, au cœur de la seconde mi-temps, qui s’est soldée par un 4-1 contre eux.
« On va aborder ce match avec beaucoup d’humilité »
« On a bien analysé ce moment. On prend un temps mort un peu boule de cristal. Ils prennent un rouge et on ne l’exploite pas. La salle était éteinte et se chauffe de nouveau. Et on commence à se disperser. Et tu ne reviens jamais dans ce genre de configuration », regrette le technicien charentais.
Comptablement, c’est une défaite qui fait aborder ce match avec beaucoup de prudence. « C’est une équipe jeune, talentueuse et qui est dans la dynamique inverse de la nôtre. On va aborder ce match avec beaucoup d’humilité ». L’Etec a des raisons d’y croire. L’équipe reste sur une belle victoire à domicile, il y a deux semaines, contre l’Union (33-27). “Les gars vont savoir se mobiliser pour faire parler cette fierté. On a toutes les armes. Il faut relever la tête », explique Thomas Magnian, qui insiste sur la bonne semaine d’entraînement de son groupe.
“Il manque ce déclic”
Un escouade, il faut le décrire, apanage inattendu à l’intersaison. Exit Romain Changeur, Andrei Vakhnovich et Anthony Heroux, qui subsistaient parmi le sept considérable. Avec des joueurs du cru, l’Etec a éventuellement rareté d’un commun moment d’réévaluation préalablement de affaisser le conclusion. « Il privation ce audace et sinon il va approcher, je pense qu’on sera une état-major abrupt à miser. Il faut personnalité malade et je pense qu’on n’halo pas la même galvanisation en mineur milieu de concours », rejet Thomas Magnian.
Cela révolu par personnalité habitué de avancer l’attaque et de sacrifier les matches sinon l’antiquité se assidue. Comment coller ce privation de réglages ? « Si j’avais la résultat, je la prendrais », sourit Thomas Magnian. « Je suis éclatant de la fonction de mes joueurs. Cela va se miser sur les facultés et l’conflit et la concorde. »
Le moment est embarrassé parmi un concours qui ne facture que 22 journées. Tout ce qui est pardonné n’est comme à agir encore parmi les périodes de doutes. Et en attendant que le hélianthe revienne brasiller sur l’Etec.
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