Jeux vidéodisque : des monnaies virtuelles, au froid détenir palpable

Cartes de V-Bucks, monnaie virtuelle utilisée dans le jeu « Fortnite », à Chicago (Etats-Unis), en 2022.

Vingt-deux associations de consommateurs européennes, lesquels l’UFC-Que acquiescer et la CLCV (Consommation, refuge et cantine de vie) en France, ont annoncé jeudi 12 septembre amener médisance malgré de la Commission occidentale vers sept éditeurs de manèges vidéodisque en intelligence de ouvrages commerciales « déloyales ». Sont visés des leaders du contrée associés chaque homme à un de à elles titres flambeaux : Epic Games (Fortnite), Supercell (Clash of Clans), Electronic Arts (EA Sports FC 24), Activision Blizzard (Diablo IV), Mojang Studios (Minecraft), Roblox Corporation (Roblox) et Ubisoft (Tom Clancy’s Rainbow Six Siege).

Les plaignants à eux reprochent de bluffer les joueurs en à eux architectonique d’administrer des monnaies virtuelles puisque ils souhaitent style des achats pendant à elles manèges favoris, avec singulariser un interlocutrice ou sprinter à eux exaspération par original. Cette adroit est spécialement répandue pendant le jeu sur interphone agile avec monétiser des produits surtout proposés franco au téléchargement, ce qu’on qualifie de modèle « freemium ».

Pour l’UFC-Que acquiescer, ce agencement n’a d’divers intention que de « former négliger [aux joueurs] que l’lettre qu’ils dépensent est détenir palpable ». Son ratifié concierge évoque « des ouvrages prédatrices ».

Perdre infiniment surtout

A l’soutien de à eux médisance, les associations soulignent que ces recette de appointements – propres à quelque jeu — ne peuvent entité achetés qu’en paquet. Tel jeu proposera par original cinq barriques avec 2 euros, dix barriques avec 3 euros ou vingt barriques avec 4 euros. Ce qui a avec effet d’masser d’cataloguer une intrépidité regarde à ces « devises » et d’inspirer à gaspiller infiniment surtout.

Les associations pointent le écho que détenir ordinairement pendant le jeu, au particularité de faire à tel ou tel emplette, les titre ne sont formulés qu’en fonds virtuelle, pas en euros, ce qui est adversaire au modèle de diaphanéité des titre. Enfin, pendant un cote, elles-mêmes dénoncent le écho que détenir ordinairement l’usager est obligé de empierrer son gousset possible au-delà du titre du détenir convoité.

Pour déterminer Bruxelles à prendre, les promoteurs de cette forme pointent le attrait de cuirasser une race attaquable, icelle des adolescents, conséquence sur le jeu vidéodisque, uniquement peu au écho des mises financiers. Même si pendant le modèle « freemium », les achats « in-app » constituent aisément des microtransactions – puisque les manèges sur console peuvent précéder les 80 euros –, ce modèle est des surtout rentables. En 2023, le jeu sur agile a évoqué 49 % des revenus du contrée de l’banque vidéoludique (90 milliards de dollars, bien 81,5 milliards d’euros), distant préalablement ses concurrents du PC et des consoles.

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