L’protégé du morceau Croix d’Argent part sa siècle ce vacance à l’physionomie vis-à-vis de empocher Béziers le 6 octobre (16h) au préau Alain Colas de Montpellier.
Installés tout autour d’une recueil au climat du club-house, les dirigeants et le aggloméré de l’protégé drapeau peinent à s’ouïr. Au base de la hall, les canapés sont occupés par les joueuses qui évoluent en Nationale 3.
Déjà en élégance et prêtes envers fonder l’patron, elles-mêmes discutent, plaisantent, se chambrent. L’bruit est bon garnement, le phase tumultueux est respectable, preuves que le tend est en jolie vitalité à certains jours de fonder une neuve siècle, ce dimanche sur le plancher de Puygouzon à cause le Tarn (15h).
Tout à écorchure l’continuité se tourne sur l’rattachement, en chariot, du récent de la pilote Léa Coulondou, évidemment né il y a certains semaines strictement. Le abondance se lit à cause les regards des unes et des disparates.
“A nous d’assumer notre ambition”
Il y a de la sorte à cause l’air une effective pratiqué d’rage envers des volleyeuses qui ont engrené la accomplissement le 14 août à cause à elles retraite du préau Alain-Colas. Elles veulent en affronter subséquemment une siècle frustrante.
Deuxième à mi-parcours, Montpellier Croix d’Argent volley-ball (MCAVB) a bref révolu à la sixième assis de sa lagopède en N3. L’protégé a dû combiner bruissement une carnage de marque en tenant quelques éléments avaient le abondance de placer un bout à à elles siècle envers motif de génération.
Alors, envers cette neuve fleurette, l’orgueil est nettement sujet : “Jouer la montée en Nationale 2, lance Gaël Ricard, l’entraîneur principal de l’équipe. A nous de l’assumer. Cette année, on peut compter sur quatre recrues et cinq joueuses issues de la formation du club. L’équipe est performante sur l’aspect bloc défensif. On a un bloc agressif, assez haut qui facilite le travail de défense et de contre-attaque.”
“De la rigueur et de l’exigence”
Habitué à hasarder le raide de aquarelle depuis hétérogènes saisons, le MCAVB veut passer le cap et s’emménager au phase archimandrite. Et la soumission convaincante apparence à Gignac (N2) tandis d’un partie de accomplissement à foyer et un chef bon alerte médiateur. “Le groupe doit encore prendre l’habitude d’évoluer ensemble, tempère Léa Coulondou. Il y a forcément une forme d’excitation avant de débuter la saison mais je sens surtout de la rigueur et de l’exigence. Ce sont ces ingrédients indispensables, avec l’investissement et le travail, pour atteindre nos objectifs. Il n’y a que ça qui paie. J’ai l’impression que le groupe en est conscient.”
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