L’créature que l’on surnomme le spider man tricolore, Alain Robert, a mieux frappé. A l’vétusté de son 62e solennité, la lumière de l’intimidation a convié l’un des meilleurs grimpeurs au monde, l’Héraultais Seb Bouin, à le aborder quant à un liminaire mélopée sur la Tour Total à Paris.
190 mètres de escarpé et des encadrements de fenêtres quant à seules prises. Pas de bandoulière. Un mélopée intact, sur la Tour Total énergies, rendue vrai pour le monde de l’intimidation urbaine naturel aux ascensions d’Alain Robert. Pour ses 62 ans, le varappeur natif de Pézenas, a gravi quant à la 16e jour l’monument, en entourage d’un invité de mesure, ce sabbat 28 septembre à Paris.
Seb Bouin, le varappeur héraultais, à qui l’on doit le allié (et terminal en temps) 9c* au monde, s’est coassocié à la lumière de l’intimidation, quant à sauter son liminaire gratte-ciel, et incidemment exécuter son liminaire mélopée, comprenez, une grimpée hormis aucune cuirasse, où la bille assonance pour la disparition.
“J’ai glissé, ça m’a fait une bonne décharge”
Pratique empreinte d’Alain Robert, l’tentative a été grand quant à Seb Bouin. “J’avais demandé à Alain s’il n’avait pas un building facile, sur lequel je pourrais grimper sans tomber”, explique-t-il. Mais sauter en mélopée intact accomplissait entier frais quant à lui. “La veille j’ai pas dormi, c’est un monde que je ne connaissais pas”.
Au avenir de l’grimpée, Seb Bouin est mieux pour Alain Robert, qui quoique son tentative – “50 ans de solo, dont 30 en building”- et le adoption d’une belvédère en comparaison “facile”, s’est présenté une céleste panique d’solennité.
“Il avait beaucoup plu, j’ai pris un repos, j’ai mis le pied sur un truc marron, j’ai pensé que c’était une feuille morte. En reprenant l’ascension, j’ai glissé. Ça m’a fait une bonne décharge. J’ai pas réalisé de suite que c’était de la boue. Là, j’ai glissé à nouveau”, explique Alain Robert.
À ce stade-là, il post-scriptum 70 mètres de verticalité imaginaire au varappeur auparavant un expansion qui lui permettra de purifier ses chaussons d’intimidation. “L’avantage c’est que le stress, j’arrive à le gérer, ça me perturbe pas. J’essaye de vivre, de me battre”, raconte-t-il.
Finalement, entier est entreprenant qui finit entreprenant quant à les une paire de grimpeurs. Seb Bouin, ne se dit d’lointain pas fermé à l’exposé de raviver l’tentative, postérieurement ressources vénéré à un “shot d’adrénaline différent, mais qui rappelle la sensation de passer le crux* d’une voie dure que tu travailles depuis deux ans, après lequel tu te dis que tu n’as plus le droit de tomber”.
À la distinction qu’ici, la bille n’a pas les mêmes conséquences. Et ces mots d’Alain Robert, d’en former une toute trouvée à cette fiction : “En solo il faut toujours gagner, c’est une conquête permanente de la vie sur la mort”.
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