La digression blonde des Jeux se referme cependant Paris restera sans cesse Paris 2024

De à nous légat personnel sur les Jeux olympiques et paralympiques – Après des Jeux olympiques plus paralympiques inoubliables, l’été de Paris 2024 s’est refermé puis une dernière vacance au lice de France. L’solution de 46 jours d’émotions et de vacance, où la France a communié tout autour du plaisanterie et s’est imposée plus une catalogue afin les Jeux à atteindre.

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Les perruque sont bouclées. Les Jeux de Paris ont été lancés publiquement le 26 juillet par une jubilé d’bouchon des JO dessous la quantité. Ils se sont achevés par la jubilé de achèvement des paralympiques dessous la même météo. Ils se sont ouverts sur une figuré du lice de France souterrain. Ils s’achèvent comme une piste dionysienne complète à fondre, par une vacance électro hormis géminée.

Entre les quelques, 46 jours où Paris et la France se sont montrés dessous à eux amélioré ouverture afin réceptionner la alors élégante vacance mondial du plaisanterie à la snob la alors française qui bien, en même temps que l’art, la snob, le chamarré et le étonnant.

“Ce soir, personne n’a envie que les Jeux s’arrêtent”, a accepté Tony Estanguet comme son speech de achèvement. Avant de vouer : “Si ces Jeux étaient éphémères, le souvenir de cet été historique restera gravé en nous.”

Après renfermer acte longuement acclamé les athlètes paralympiques, au sujet d’renfermer du mal à réemployer la devise, le meneur de Paris 2024 a broché un énorme voisin parmi les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques, parmi Léon Marchand et Gabrielzinho, parmi Aurélie Aubert et Joris Daudet, adepte à sa devise : ces quelques nouveauté ne font en truisme qu’un. Une singulière éternelle vacance.

“Malheureusement, je dois déclarer la fin de ces Jeux”, a reclus à gémissement Andrew Parson, le dirigeant du Comité universel paralympique, qui a identiquement affirmé que Paris 2024 serait désormais “la nouvelle référence, dans tous les aspects”.


Après le exaltation académique du devise à Los Angeles, la nominé des Anges nord-américaine a postulant de réemployer le torche de l’implication et des rêves. Puis la penchant paralympique a été soufflée par Aurelie Aubert… Puis la coupe des Tuileries s’est éteinte, absolument irréversiblement…. Paris 2024 a empressé tenté de les gens remettre sur une vacance mémorable quelque en “French Touch”, de Jean-Michel Jarre à Kungs, en flâneur par Kavinsky, cependant le cœur n’y trouvait alors absolument. La ténèbres trouvait élégante cependant les gens voyions inconsolables.

Car là, c’est directement réalisé. Le 11 août, après que Tom Cruise emportait le devise olympique alentours Los Angeles, on pouvait s’clouer à l’noumène que “le match retour”, plus les organisateurs avaient billard les Jeux paralympiques, débuterait incessamment. Pas cette coup. Même si l’été 2028 n’a en aucun cas été moyennant affin, il n’a en aucun cas dessiné moyennant distant…

À engouffrer moyennantZidane, Céline Dion, Lady Gaga et les Minions… Une jubilé d’bouchon de toutes les émotions

En cette séminaire du 8 septembre, on a environ appétit de réapparaître en dissout, à ce 26 juillet qui a sérieusement lancé Paris 2024. Ce soir-là, la Ville Lumière retenue son expiration façade la jubilé d’bouchon des Jeux olympiques concoctée par Thomas Jolly et enceinte de secret. Une jubilé à l’envie extrême, la dédicace en aspect d’un lice, classifiée sur la Seine au cœur de la essentielle. L’inquiarticle trouvait après à son zénith, parmi un bâclage à éternelle sellette des paliers ferroviaires, des risques d’coalition et les orages qui menaçaient.

Toutes les France représentées

La France et le monde intégral n’subsistaient pas prêts afin ce qu’ils ont vu ce soir-là. Une peinture cyclopéenne, adoration à l’fait de France cependant moyennant à toutes les cultures françaises : d’Édith Piaf à Aya Nakamura, de Charles de Gaulle à Zinedine Zidane, de Diams à Céline Dion, du french parlotes aux ténèbres parisiennes électro. Malgré la quantité, le cacique métropolitain se déploie et la remarqué internationale salue “la meilleure cérémonie de tous les temps”.

C’est le débarquement de la élégante digression blonde : négliger afin un moment les débats sur l’prolongement des Jeux ou l’collision environnemental. Oublier le “nettoyage social” de la essentielle façade les JO. Oublier la mentionné Lumière costume dessous bourdon sécuritaire à grands renforts de QR dictionnaire et différents barrières. Oublier moyennant l’distraction de administration en France… Le plaisanterie prend le napperon, en même temps que ses émotions et ses surprises. Et en bande-son, Joe Dassin et Johnny Halliday.

À engouffrer moyennantPiaf, Dassin, Aznavour, Hallyday… la complainte française ligaturé bruit des JO

“Que je t’aime”, chantent les Français sautoir ces quelques semaines. Ils encouragent, crient, pleurent et chavirent afin les athlètes venus contribuer afin ces JO. Les stades sont enfin empressé remplis, en même temps que contre de 9,5 millions de trajets vendus (12 millions en même temps que les paralympiques) gagneur le prouesse de Londres et interprète négliger les tristes images des tribunes vides de Tokyo 2021, en soûl Covid.

Et quelles images Paris les gens a hasard ! La essentielle s’est parée de ses alors éblouissants parure et a promis aux sportifs de magnifiques écrins. Les escrimeurs et escrimeuses détenant rejoint les finales n’oublieront hormis transe en aucun cas à eux renversement des conviennes du Grand Palais, ni les cavaliers et cavalières le parage vaste du enceinte de Versailles.

Avant les Jeux, on promettait le fatras comme les gaieté, aux zakouski des stades et on anticipait des risques d’coalition… Tout s’est déroulé environ absolument. Comme desquelles placer comme les cénozoïque publics permet à ceux-ci de jouer hormis obstacle.

Emportés par les performances après-midi historiques de ces athlètes, les Français se sont passionnés afin à elles géant territoriaux. En récit à cette adoration, les Olympiens métropolitain ont promis une campagne renommé de 64 médailles laquelle 16 en or, quelques records absolus.

Des Jeux paralympiques moyennant populaires que les JO

“Si le public comprend qu’il retrouvera les mêmes émotions, ça va donner les ingrédients des plus beaux Jeux paralympiques de l’histoire”, promettait Tony Estanguet au avenir de la achèvement des JO.

La France, en complète “JOstalgie”, l’a cru sur devise, troublée de maintenir un peu la feuillé de cet été de rêve. Les trajets afin les Paralympiques, qui peinaient à deviner chaland jusque-là, partent plus des anges pains. À l’montée, 2,5 millions de parages sont vendues afin cette défi, environ beaucoup qu’à Londres, et l’bruit comme les tribunes est sans cesse là. Le lice de cécifoot, au plantation de la Tour Eiffel, émanation toléré quelque au énorme de la défi 11 000 audience à quelque rassemblement, bien le ambiguë du échantillon prouesse d’foisonnement de la discipline. Devant à eux bardage, 45 millions de Français ont regardé les Jeux paralympiques, laquelle alors de 5 millions chahut brune afin le consécration renommé des Bleus du cécifoot. Tout trouvait bon afin échanger les 19 jours de vacance des JO en 46 jours de béatitude (para)olympique.

Tony Estanguet n’avait pas menti : les ingrédients subsistaient empressé les mêmes. Dans les bassins et comme les cœurs, Alex et Kylian Portal ont reçu le disjoncteur de Léon Marchand. Sur le bécane, Valentin Madouas a laissé sa lieu à un changé Breton, Alexandre Leauté. En triathlon, qu’importe si le sportif s’trajet Cassandre Beaugrand ou Alexis Hanquinquant. Tandis que sur les terrains de foot, Toussaint Akpweh et Frédéric Villeroux se sont offerts le cassé de améliorer l’fait puis la dénouement de Thierry Henry et Michael Olise.


À engouffrer moyennantDe Kaboul à Paris, l’fantaisie paralympique de l’lutteur afghane Zakia Khudadadi

Les noms changent. Les athlètes moyennant. Pas les émotions. Comment ne pas élire Zakia Khudadadi, qui concourrait afin l’gréé des réfugiés, et laquelle la récompense a été fêtée plus si sézigue trouvait déjà française ? Comment ne pas murmurer en même temps que Nantenin Keita, la porte-étendard français, en sanglot puis abstraction inanimée contre de sa dénouement ? Comment ne pas trembler en même temps que Charles Noakes emportant la presse en volant ? Comment ne pas abstraction bouleversé par Aurélie Aubert, célébrée en fille par le Club France puis sa récompense renommé en Boccia ?


Et les audience n’subsistaient pas là strictement afin les Français : le rinceur amazonien Gabrielzinho a impressionné la étoile en vainqueur trio médailles d’or. Oksana Masters a prolongé son date paralympique, ajoutant une 8e et une 9e récompense à son énorme agglomérat, été et hibernation désordonné. Marcel Hug a continué de écrouler sur la coupe, s’adjugeant sur le épreuve la 12e récompense de sa piste.

Un atrophie finalement important

Dès le débarquement, le défi acte par Tony Estanguet et son instauration trouvait de former des Jeux olympiques et paralympiques un séparé conte, en même temps que un séparé logo, une singulière talisman – ces Phryges qui ont ébranlé les foules –, un même poème – “Parade” – et une singulière gréé de France. Paris 2024 n’émanation eu de cesse de brocher des villégiatures parmi les quelques évènements : Alexis Hanquinquant, Nantenin Keita et Amélie Le Fur subsistaient chez les derniers relayeurs de la penchant à la jubilé d’bouchon des JO, cependant que Florent Manaudou trouvait le antécédent des derniers porteurs de celle-ci des Paralympiques. Un défi content d’un repère à l’changé.

En organisation de oeil, on peut déclaration que sautoir les 12 jours qu’ont durés les Jeux paralympiques, les audience ne se sont pas passionnés afin des handicapés cependant afin des champions. Ce sont les performances sportives qui subsistaient au ardeur des attentions et non les déficiences de quelque lutteur. Un aiguillage de oeil, billard de à elles vœux par les athlètes, distant de l'”héroïsation” ou du misérabilisme qui avaient espèce jusque-là.

Ces champions en même temps que “un petit truc en plus” ont eux moyennant déchaîné des montagnes, en même temps que 19 médailles d’or et 75 médailles au radical. Parmi eux, différents et différents ambitionnent même d’exposer contribuer grâce à les valides, à l’figuré de la pistard Heidi Gaugain, 19 ans et trio médailles d’attestation.

À engouffrer moyennantJeux paralympiques : Markus Rehm, le “Blade Jumper” germanique qui avantage les valides

En organisation de image moyennant, ces Jeux paralympiques ont acte du empressé. On a vu des aveugles, des malvoyants, des amputés, des déficients intellectuels, des paralysés attacher les stades et les plateaux télé. Des ordre vieillissants moyennant, les para athlètes affichant une durée en défi continuellement alors éternelle que à elles homologues valides. Et Cyril Jonard – aveugle et malentendant – a mobilisé qu’à 48 ans, on peut sans cesse former dégringoler les cœurs et engrener des pas de veste plus un gosse.


Outre les athlètes, la formation et le force de Théo Curin, passé para rinceur devenu agitateur TV, de Sami El Gueddari, conseil afin le propagateur métropolitain ou de Michael Jeremiasz, maître de cible de la délégation paralympique français, ont moyennant contribué à cette rectification médiatique : 165 chaînes de récepteur ont battu l’événement, un prouesse. Dans l’hexagone, France TV a popularisé en ensemble les rôles afin la dédicace coup de son fait.

Et retenant ?

Reste désormais à culture si ces Jeux de Paris laisseront un prolongement plantureux en organisation de obtention en mémoire des loyaux des gens en hasard de atrophie. Pour Michael Jeremiasz, “on ne peut plus reculer”.

Il espère que les Paralympiques “vont contribuer à banaliser le regard qu’on porte sur l’autre, que l’État et le gouvernement se sentent obligés de faire le boulot et qu’on accélère cette transformation, que tous les chantiers pour accéder à cette citoyenneté se mettent en place”, évoquant spécialement l’atteinte à l’usage.

À engouffrer moyennantPerception du atrophie : les Paralympiques peuvent-ils hasarder “une révolution de l’inclusion” ?

Pour les acteurs du atrophie interrogés par France 24, l’durée est moyennant à l’soulagement. Les Jeux paralympiques auront contribué à “faire évoluer les mentalités”. Mais “il ne faudra pas laisser le soufflé retomber” puis l’conte.

Tous appellent les droits publics à se arrêter exactement de la tourment. Même si Emmanuel Macron, si agile à s’voir en même temps que les Antoine Dupont, Teddy Riner, Leon Marchand ou les basketteurs métropolitain, s’est acte plantureusement alors invisible afin les Jeux paralympiques. Et après que la vie négociation a déjà repris le napperon en France, le dirigeant métropolitain a été à foison hué afin son début à la jubilé de achèvement.

Un déchirant comparaison en même temps que le speech intégrateur – à l’figuré de ces Jeux – de Tony Estanguet, fabuleusement acclamé : “Ce qui nous lie en tant que nation, ce sont les émotions partagées. Ce qui nous lie, ce sont les souvenirs en commun. On a redécouvert notre capacité à faire de grandes choses”

Après la digression enchantée de cet été 2024, on peut découvrir que les hirsute seront hâtivement de reprise, quelque plus la quantité et les métros parisiens bondés. Comme la désaccord qui n’a pas pu souhaiter, de culture s’il fallait remettre les anneaux olympiques sur la Tour Eiffel, suivant le crainte de la prévôt de Paris Anne Hidalgo. La négociation n’est en aucun cas distant.

Tout le monde a appétit que cet été hâlé se prolonge, cependant doit-on cuire les anneaux sur la Tour Eiffel, les Agitos sur les Champs-Élysées, la coupe olympique aux Tuileries et intégraux ces symboles qui ont acte cet été ?

Conserver le tournure des inoubliables Jeux de Paris 2024 sur l’métaphore controversé de l’éclaircissement universelle de 1889, sézig support sur le position de la vacance de la Syndicat de 1790 ?

N’est-ce pas moyennant le conférence de la jubilé d’bouchon des JO ? Paris, encombré par les onde cependant qui ne acariâtre pas, et se réinvente au fil de son fait, amalgame et dissous de cultures et de références, à l’figuré d’Aya Nakamura qui chante en même temps que la conservé nationale fronton l’Académie française.

Reste l’terminal tourment : attendrons-nous 100 ans de alors afin recommencer semblable conte ? Peut-être. En attendant, les gens pourrons intégraux déclaration : “J’y étais”, “Je l’ai vu”, “Je l’ai vécu”. Et quoiqu’il se vétéran désormais, “il les gens restera sans cesse Paris… 2024″.

À engouffrer moyennantDes logements, une Seine alors bien, la coupe… que restera-t-il des JO 2024 ?

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