L’ex-défenseur du MHSC, clique postérieurement une “rixe” derrière l’présentateur en brumaire 2023, existait l’invité de Canal + Afrique, vendredi 27 septembre. Il y a décrit sa utopie des faits et annoncé des poursuites judiciaires à débarquer.
“Je me suis dit qu’il allait falloir nettoyer le nom Sakho qui représente mon père. Je ne laisserai personne de mon vivant entacher ce nom-là.” Près d’un an postérieurement, Mamadou Sakho est déterré du mutité, vendredi.
Parti du Montpellier HSC postérieurement un fermeture derrière l’présentateur Michel Der Zakarian arrivé le 21 octobre 2023, l’démodé manoeuvre héraultais existait invité de l’rayonnement J-1, diffusée sur Canal + Afrique. “Ce n’est pas ma vérité mais LA vérité”, a-t-il affirmé, devant de consacrer sa interprétation d’un événement qui avait plantureusement marqué la étape âpre du MHSC.
Deux plaintes en épigramme
L’ex-international a précisé alors de cette entrevue qu’il allait détrôner couple plaintes en épigramme, vers un complice de L’Troupe aussi qu’un “journaliste 2.0 sur Twitter (désormais X)“ étant donné qu’ils “ont propagé un message qui n’était pas la réalité”, estime-t-il, ajoutant se assortir en arrêté “pour protéger les petits frères qui arrivent derrière”.
“Ils ont écrit que moi, Mamadou Sakho j’avais mis une balayette à mon coach. J’ai 34 ans, 4 enfants, personne ne va salir ma réputation surtout quand c’est faux. Pourquoi n’ont-ils pas écrit l’inverse ? Est-ce que pour eux, un Mamadou, qui vient d’un quartier, noir, devant un coach blanc, Michel, la logique est que l’homme noir mette la balayette à l’homme blanc ?”, s’interroge le sportif. “Je ne sais pas quel intérêt ils avaient à écrire ça, s’ils ont reçu un bakchich (pot-de-vin, NDLR) de quelqu’un”, a-t-il supplémentaire, précisant : “Ils ont la chance de ne pas m’avoir rencontré quand j’avais 18 ans et réagissais différemment.”
“Je l’attrape par le col, lui aussi”
Le 21 octobre 2023, l’démodé skipper du PSG et Michel Der Zakarian s’subsistaient accrochés là-dedans le placard du attachement d’exercice du MHSC, à Grammont. Des faits qui avaient touché au amorcement de Sakho du canne le 2 brumaire. Le manoeuvre en a livré sa interprétation sur la barrière cryptée, décrivant un entraîneur accosté “énervé à l’entraînement” devant une rassemblement vidéodisque musculeuse. Il s’en serait invariable un exercice qui se serait “très, très mal passé”, “sans arbitrage”, suivant Sakho, martyr d’une stupidité et clique aux vestiaires “pour respirer un bon coup et éviter le conflit”, dit-il.
Là, Michel Der Zakarian serait parvenu lui écouter s’il s’existait irradié. “Je lui réponds deux mots : “Non entraîneur, époustouflée”. Il part et dit : “De toute fabriquer, toi-même faites alors toi-même voulez, alors en challenge””. La discussion se serait poussée là-dedans “la salle des kinés” et là-dedans une tangible “tension”.
Dans sa interprétation, Sakho noble art que si “le ton était soutenu, je ne vais pas faire le petit agneau, il n’y a pas eu d’insulte”. Il repousse son compte-rendu : “Le coach se tourne, vient vers moi, d’une manière hystérique. “J’ai pas tourment de toi”. Il met sa tête contre la mienne et me pousse au niveau du torse. Je l’attrape par le col, lui aussi. Je lui ai dit “Tu ne lèves pas la gantelet sur moi, je ne suis pas votre célibataire”. Je suis resté stoïque, choqué de la scène, avec une rage en moi, mon regard en disait long. […] Sa chaîne est en dessous et quand je décide de le lâcher, avec les 7 ou 8 joueurs qui poussaient (pour séparer, NDLR), le coach est tombé”, affirme-t-il.
“Même les joueurs du 93 ne mettent pas une balayette à leur coach”
Une dizaine de jours postérieurement cet fermeture, le MHSC avait annoncé là-dedans un avertissement la étourderie “de bonne foi”. Le sportif veut distinguer là-dedans cet entente une assertion son réhabilitation. “Un joueur qui frappe un coach est tout de suite viré. Ça n’a pas été mon cas. Pour les intelligents, il faut se poser la question.”
Convaincu de sa attentionnée foi, Sakho en veut avec assertion un antérieur fermeture. Survenu pendant la préliminaire précédente, front à Nice, il aurait vu le sportif éviter son présentateur front aux invectives d’un sportif de l’OGCN en tribunes. “Même les joueurs du 93, de quartier ne mettent pas une balayette à leur coach. C’est moi, Mamadou Sakho après 20 ans de carrière, marié, 4 enfants, qui vais mal me comporter sachant que trois mois avant que je l’ai défendu devant un joueur ?”
Au bout de cet reprise d’une quinzaine de minutes, Mamadou Sakho conclut. “Quand tu es serein, que tu sais que tu peux te regarder dans une glace, que tu n’as rien à te reprocher, tu n’as pas besoin… Il faut laisser les médisants parler.”
L’épisode de Mamadou Sakho à Montpellier atmosphère duré un peu surtout de couple ans, avec 49 apparitions. Cette insulte du mutité de la acte du manoeuvre intervient avec même que le avènement hors de saison du MHSC a mis en problème Michel Der Zakarian, qui a décidé de adoption forts là-dedans son placard.
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