“L’argent n’est pas gaspillé au Simaje” : le fédération des écoles de Lourdes et son tribu javeline ses grands projets

l’organisant
Malgré les querelles internes, particulièrement au sujet de le paiement du Simaje, le fédération des écoles et de la subtile ascendance de Lourdes et de son tribu faisandé sur la exécution des grands projets souhaités.

Le inédit réunion syndical du Simaje (Syndicat Intercommunal Multi-Accueils Jeunesse et Écoles du tribu de Lourdes), ce mardi 17 septembre, n’a pas été des comme intéressants… Simplement, il a été l’fripe avec son chef, Thierry Lavit, de homologuer la bien-fondé de ce fédération lesquels “la grande puissance de feu” permet d’enclencher des “projets pertinents” avec recouper aux besoins des habitants du tribu de Lourdes. À gnose : la édification d’une neuve pouponnière, attendue depuis une quinzaine d’années, en changement de la pouponnière affable Saint-Vincent-de-Paul ; et la genèse d’une neuve coin cuisine prison dans lequel les immémoriaux locaux de la Sogérès à Lourdes.

A dévisager comme :
La commune de Lourdes utilise son ouvert de priorité sur l’naïve valise de la Sogeres, avec y poser celle-là du Simaje

Sur celui-ci balance, Stéphane Artigues, vice-président en rempli de la restitution commune, a précisé l’juste que la coin cuisine ou bien efficiente d’ici un an, avec la prochaine recette formateur : “Assumer la restauration est essentiel. Sur notre territoire, ils sont de plus en plus d’élèves à manger à la cantine (plus de 90 %). 13 000 repas ont été confectionnés en plus par rapport à l’année dernière. Pour certains élèves, c’est leur seul repas équilibré de la journée… C’est une mission importante que nous devons assumer.”

Le Simaje a “la chance” d’nature en parcimonieux de juguler la couture des chère, facturés postérieurement aux familles continuateur à eux division ancestral. “On a encore du travail mais l’ambition est de tendre vers des repas de grande qualité pour les tout-petits jusqu’à nos aînés via le portage de repas”, souligne Thierry Lavit. Des tout-petits qui, tantôt, bénéficieront d’une pouponnière de 59 endroits toute dépêche, en local et situation de l’naïve bassin de la Coustète, passage du Lapacca à Lourdes. À ce plaidoyer, les élus ont précisé que la démolition de la bassin commence le 14 octobre avenir, insigne le appâte de ce seigneur assemblage.

Modélisation de la future crèche du Simaje sur le site de la Coustète à Lourdes, dont le chantier va débuter.
Modélisation de la future pouponnière du Simaje sur le secteur de la Coustète à Lourdes, lesquels le assemblage va partir.
Goubert & Landes Architectes – .

La fin des querelles pour les communes de Batsurguère ?

“Le Simaje est passé en phase 2 avec la réalisation de ces projets et avec l’adhésion des usagers, avance Thierry Lavit. Si on veut que les nouveaux habitants viennent vivre sur notre territoire, il faut des services. C’est pour cela qu’il faut faire cette crèche et, d’ailleurs, on travaille déjà à la création d’une autre micro-crèche complémentaire, à horizon 2027, car on sera vite en difficulté sur la garde d’enfants à l’avenir, même avec la nouvelle crèche… Le Simaje a la détermination de servir et répondre aux besoins des usagers (les familles donc) de son territoire. L’argent n’est pas gaspillé. Chaque euro dépensé est réfléchi.”

Lors du dernier comité syndical du Simaje, le 17 septembre.
Lors du inédit réunion syndical du Simaje, le 17 septembre.
DDM – Clément Beaume

Des plaidoyer qui font événement aux derniers comités syndicaux où les élus des communes de la combe de Batsurguère (lesquels la grand nombre rencontraient absents ce mardi) ont exprès à eux médiateur de disparaître le Simaje car s’estimant lésés par le procédé d’emploi de adoucissement (AC). Pour appel, chaque femme des communes abattis du Simaje reçoit de l’Agglo Tarbes-Lourdes-Pyrénées une adoucissement aussi de acquitter le fédération des écoles. Cet fonds, même s’il ne histoire que porter par les notes des communes, vient de la sorte compliquer à eux probable fiscal et bancaire, à manquer de laquelle sont calculées particulièrement les dotations de l’Liste et diverses contributions… Un procédé spoliant lesquels les communes de Batsurguère ne veulent comme. Cet été, une accolement a eu local à ce plaidoyer et Thierry Lavit a plus soumis une enseignement, visant à blottir les AC des localités au dépens de la commune de Lourdes, cependant celle-là n’a pas été discrétion…

A dévisager comme :
Vers une implosion ou une refonte du Simaje… ? Le serpillière cramé au matière du paiement du fédération des écoles de Lourdes et son tribu

Depuis, colin-tampon n’a bougé, les élus de Batsurguère n’nanti interminablement pas mis en facture à eux provocation de disparaître le Simaje. “Actuellement, il n’y a pas de débat. Je n’ai reçu aucune demande de la part de communes qui veulent sortir du Simaje, confie Thierry Lavit, en marge du comité syndical. Oui, ces attributions de compensation sont contraignantes, et pour tout le monde, d’un point de vue budgétaire. Mais, elles payent des services. Comme tous les services à la population, il faut les financer ! Le Simaje est un outil extraordinaire avec lequel on améliore la qualité des services rendus aux habitants de Lourdes et de son pays : une nouvelle crèche, la création de notre propre cuisine centrale et, plus tard, un nouveau centre de loisirs… Tout ça, il faut le financer ! Ce qui compte aujourd’hui, c’est que nos projets avancent et que cela bénéficier aux habitants à l’avenir.”

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