“Les groupes politiques sont déjà en 2027, je ne m’attendais pas à ça” : la dépense du messager tarnais Philippe Bonnecarrère

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Le messager de la 1re arrondissement du Tarn, qui pouf comme les non-inscrits à l’cénacle nationale, effectuait sa dépense.

Il l’avoue, il a passé un été vigoureusement empressé : “Je n’ai pas arrêté”. Élu messager de la 1re arrondissement du Tarn survenance juillet, Philippe Bonnecarrère a complet sa dépense qu’il veut à la coup “proche et utile”.

Celui qui ne se retrouve pas pendant les partis est désormais un élu fantaisiste qui pouf comme les non-inscrits à l’cénacle nationale. “La politique est malade, on le voit avec les 3 blocs présents à l’assemblée ou aucune majorité ne se dessine”, explique l’ex constitutionnel. Son préliminaire intelligence puis l’cooptation de Yaël Braun-Pivet à la régie de l’cénacle ? “Les groupes politiques sont déjà en 2027 et se positionnent tous pour la présidentielle, je ne m’attendais pas à ça et je ne partage pas cette conception”, souligne Philippe Bonnecarrère.

Une continuation baladeur

Pour cette dépense et pendant que la montée d’un gérance se récit régulièrement lambiner, le messager a décidé d’édifier une continuation baladeur : toutes les premières semaines de quelque traitement, il se rendra comme sa suppléante Julie Capo-Ortega sur intégraux les marchés et pendant les quartiers de sa arrondissement.

“On va aussi mettre en place le principe d’une journée une commune pour voir les artisans, agriculteurs, associations et entreprises, déroule l’ancien maire d’Albi. C’est une logique de proximité. Il faut une idée d’équité, des territoires se sentent abandonnés, ce n’est pas tolérable.”

Pour le messager, double sujets de accès se dégagent en cette dépense médiateur : l’agrochimie, “on sous-estime la crise, il faut y réponde de manière urgente” et la tracas des Ehpad où “il faut revoir le modèle”.

Concernant le débours Premier diplomate, Philippe Bonnecarrère avertit : “il n’aura aucun état de grâce, nous sommes dans une situation inconnue avec un pays en déficit permanent depuis 1975.” Mais il concède que “Michel Barnier est un homme sérieux que je connais et qui a été sous estimé”.

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