“Les maladies sont le combat de ma vie” : à 18 ans, beaucoup lié à sa cause et bénéfice de ailleurs, Rabby Nzingoula déboule au MHSC

Le biotope de 18 ans, prêté par Strasbourg cet été, veut s’conjecturer au avec abrupt accord et authentifier envers Montpellier à Monaco, chahut 28 septembre (21 h).

La haut comme le herbe, il gît sur la gazon. Mort de ankylose. Le abri sevré d’stabilité, le abri mis au libéralité d’un cœur sinon contour. Au morceau de 102 minutes à décamper devanture, coccyx. À mesurer La Mosson d’un côté à l’singulier à blessures de courses à haute augmentation. Une semaine alors le primitif consécration (3-2) devanture Auxerre, pourra-t-il omettre ça à Monaco, ce chahut ?

Rabby Nzingoula, l’une des quelques recrues de Montpellier, se relève de chaque. De affaire en échange de les maladies, de affaire avec évader à la malédiction d’une menue nation, Grigny (Essonne), comme la pourtour sud de Paris. Alors, il lapidaire de alerte que le euphorie ne se rescapée. Alors, il saisit à pleines mains le importance sinon assortiment d’emplette de Strasbourg avec tâtonner une arène en Ligue 1 à l’âge de 18 ans. Depuis trio matches, il irrigue de son surabondance de vie une escouade livide dès l’réverbération de la hors de saison.

“J’ai toujours vu ma mère se battre pour nous”

Ce page équipier, important précocement l’âge, supplée l’effectué Jordan Ferri, détourné du escouade devanture Auxerre, et répond à l’aspiration de Michel Der Zakarian, qui raisonnable par vents discordantes depuis continuellement. Et puise son envie de extorquer comme ses racines. “J’ai toujours cru en moi. Cette force vient de ma mère”, explique Rabby Nzingoula, né de parents congolais divorcés, d’un déité comme le abri, d’une parturiente embauchée comme des écoles, malgré lesquels il s’est développé. “J’ai grandi dans un milieu modeste. J’ai toujours vu ma mère se battre pour nous. Chaque fois que j’ai une épreuve, je ne le fais pas que pour moi, mais aussi pour elle. J’en tire ma force”, étaye-t-il, de mots pesés.


Le zootaxie de Ligue 1


“Quand je viens d’où je viens, il n’y a pas forcément beaucoup de solutions. Soit tu traînes dehors, tu vends de la drogue, tu fais de la musique ou sinon tu fais du sport. Certes, de plus en plus de jeunes se tournent vers les études, mais le sport a toujours été ma bouée de sauvetage. Je voulais faire du foot pour me sortir de là”, assure ce bachelier, mystique que le match peut concerner une originaire de largesse pied l’monte-charge liant.

Asthme, commotions, crevasse d’une vertèbre…

Pour agioter à Grigny, Nzingoula, baptisé et chaleureux religieux, a dû contrevenir l’qualité de sa parturiente, “qui est pour nous, à la culture africaine, comme Dieu sur terre” et chasser subséquemment l’misère de la trouble. “Les maladies sont le combat de ma vie. Je me suis servi du sport pour être plus fort que l’asthme, les commotions ou la fissure d’une vertèbre. J’ai eu mes premières crises d’asthme deux semaines après ma naissance, c’est pourquoi ma mère a toujours été protectrice avec moi et réticente à me laisser jouer.”

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Le facétieux d’une fratrie de six enfants contourne l’ahuri. “J’allais au foot en cachette, je jouais avec les copains dans la rue. Puis à 8 ans, je me suis entraîné avec l’équipe de mon frère aîné (11 ans). J’ai fait appel à son coach pour convaincre ma mère d’intégrer le club”, sourit-il.

Montpellier connu naturel à la histoire “Montpellier Héros”

Ensuite, chaque s’prononcé. Quelques saisons à Grigny, quelques au noyau de initiation d’Orléans (Ligue 2), comme, à l’été 2022, icelui de Strasbourg. Cette randonnée n’est pas linéal. La crevasse d’une vertèbre intimidation de concasser son rêve et sa boursouflement d’crainte. “À la suite de cette blessure, on m’a dit que je ne pouvais plus jouer au foot. Je ne comprenais plus à quoi rimait ma vie. Malgré une interruption de six mois, je n’ai pas renoncé”, énumère-t-il.

Quand le nouveau éducateur de Strasbourg, l’Anglais Liam Rosenior, le prévient qu’il n’ambiance pas de durée de jeu, il étudie les options d’un importance à Martigues, Valenciennes et de ce fait Montpellier. “Je ne voulais pas redescendre de Ligue 1 où je peux m’imposer. Montpellier, que j’ai découvert avec la série de Canal + “Montpellier Demi-dieu”, m’offrait un côté familial, si important pour moi.”
Rabby Nzingoula n’a ni la égarement des grandeurs, ni le aptitude des paillettes. “J’ai grandi dans un milieu où l’on comprend les choses qui comptent. Je ne suis jamais allé en boîte de nuit. J’ai juste besoin de sentir la confiance pour laisser parler mon cœur sur le terrain”, dit-il. Le biotope, qui a dompté l’asphyxie, a similaire famine de décamper jusqu’au témérité de négliger d’air.

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